CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
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CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par clubalpha Mar 27 Fév 2024 - 10:19
Bonjour m'sieurs dames ;
Avec la fin du Typhon mon emplacement "racers" sur l'étagere des en-cours s'est liberée, je peut donc faire ce que j'aime le plus : Commencer un truc
J'ai donc sélectionné un autre rouge qui va vite. Le CS15, équipé d'un monstrueux moteur Fiat AS8 V16 de 2250Ch. Il a été étudié spécifiquement pour reprendre le record de vitesse au Me.209, l'objectif était 800km/h.
L'appareil n'a jamais volé. Il a été fabriqué; le 10 juin 1940, lors de l'entrée en guerre de l'Italie, les tests statiques en soufflerie était terminé, évaluant la vitesse de pointe de l'avion à 850 km/h.
Il a été détruit par les troupes allemandes en retraite, à priori en 1943, pas de certitudes là dessus. Seul le moteur a survécu.
Pas lourd de documentation sur cet oiseau, d'un autre côté ça me simplifiera la construction :mrgreen: mais si jamais au cas ou sur un malentendu quelqu'un a quelque chose ....
J'ai un plan trois vue côté, quelques dessins trouvés sur le net.. Donc première étape, décider de l'échelle. C'est un avion assez gros (vu le moteur, en même temps ... )
Je penche pour le faire au 1/48, pour aller avec les autres racers
Bah oui mais j'ai aussi des avions de course au 72 ....
Du coup forcément j'hésite...
Bon, je vais prendre un petit café pour mieux réfléchir
A bientôt pour le comité de démarrage du lancement de projet
Avec la fin du Typhon mon emplacement "racers" sur l'étagere des en-cours s'est liberée, je peut donc faire ce que j'aime le plus : Commencer un truc
J'ai donc sélectionné un autre rouge qui va vite. Le CS15, équipé d'un monstrueux moteur Fiat AS8 V16 de 2250Ch. Il a été étudié spécifiquement pour reprendre le record de vitesse au Me.209, l'objectif était 800km/h.
L'appareil n'a jamais volé. Il a été fabriqué; le 10 juin 1940, lors de l'entrée en guerre de l'Italie, les tests statiques en soufflerie était terminé, évaluant la vitesse de pointe de l'avion à 850 km/h.
Il a été détruit par les troupes allemandes en retraite, à priori en 1943, pas de certitudes là dessus. Seul le moteur a survécu.
Pas lourd de documentation sur cet oiseau, d'un autre côté ça me simplifiera la construction :mrgreen: mais si jamais au cas ou sur un malentendu quelqu'un a quelque chose ....
J'ai un plan trois vue côté, quelques dessins trouvés sur le net.. Donc première étape, décider de l'échelle. C'est un avion assez gros (vu le moteur, en même temps ... )
Je penche pour le faire au 1/48, pour aller avec les autres racers
Bah oui mais j'ai aussi des avions de course au 72 ....
Du coup forcément j'hésite...
Bon, je vais prendre un petit café pour mieux réfléchir
A bientôt pour le comité de démarrage du lancement de projet
Dernière édition par clubalpha le Mer 27 Mar 2024 - 18:46, édité 6 fois
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par CCCP Mar 27 Fév 2024 - 11:57
Bonjour
Un tel avion ne sera que plus beau et plus impressionnant au 48e.
Un tel avion ne sera que plus beau et plus impressionnant au 48e.
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par clubalpha Jeu 29 Fév 2024 - 13:36
Merci merci ! Oui, au 1/48 !
Cette maquette sera réalisée en Gloubiboulbois ; Poirier-Samba-Balsa ! L'effet Mitch, sans doute, je voudrais tester la construction bois. Pas sculpté dans la masse, j'en suis bien incapable, mais en pièce montée: D'abord la structure, ensuite on fourre au balsa.
On commence par faire le poirier : J'ai pris du poirier un peu au hasard mais surtout parce que j'en ai une planche de 1mm. qui me parait assez plane, contrairement au balsa qui n'a pas la rigidité nécessaire. Le samba me parait a mi-chemin entre les deux, je le garde pour les ailes.
Je commence par la voilure. Longeron sur vue de dessus et mise sous presse
Quelques nervures pour le profil :
Puis le fuselage, légèrement en dessous de l'axe des ailes
Puis l'avant, avec les capotages du monstrueux V16
Les parois du poste de pilotage et la queue suivent
Et je commence à "épaissir" la voilure" .
Bon, ben , faut que ça sêche ....
A+
Cette maquette sera réalisée en Gloubiboulbois ; Poirier-Samba-Balsa ! L'effet Mitch, sans doute, je voudrais tester la construction bois. Pas sculpté dans la masse, j'en suis bien incapable, mais en pièce montée: D'abord la structure, ensuite on fourre au balsa.
On commence par faire le poirier : J'ai pris du poirier un peu au hasard mais surtout parce que j'en ai une planche de 1mm. qui me parait assez plane, contrairement au balsa qui n'a pas la rigidité nécessaire. Le samba me parait a mi-chemin entre les deux, je le garde pour les ailes.
Je commence par la voilure. Longeron sur vue de dessus et mise sous presse
Quelques nervures pour le profil :
Puis le fuselage, légèrement en dessous de l'axe des ailes
Puis l'avant, avec les capotages du monstrueux V16
Les parois du poste de pilotage et la queue suivent
Et je commence à "épaissir" la voilure" .
Bon, ben , faut que ça sêche ....
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par Ex nihilo Jeu 29 Fév 2024 - 20:46
Bonsoir Frère Cluby, bonsoir tout le monde
Je me reconnecte ce soir (assez occupé et préoccupé dans la vie normale) et que vois-je ? Je suscite une vocation menuisière !
Même si la base de départ ressemble plus à la méthode de Raymond Deaune, que l'on ne voit plus ces derniers temps, au final il faudra bien que tu sculptes tes ajouts de balsa et samba.
Il me tarde de voir la suite de cette originale machine
Vive le scratch cousu main
Amicalement
Mitch
Je me reconnecte ce soir (assez occupé et préoccupé dans la vie normale) et que vois-je ? Je suscite une vocation menuisière !
Même si la base de départ ressemble plus à la méthode de Raymond Deaune, que l'on ne voit plus ces derniers temps, au final il faudra bien que tu sculptes tes ajouts de balsa et samba.
Il me tarde de voir la suite de cette originale machine
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par clubalpha Ven 1 Mar 2024 - 14:10
Salut Mitch et merci d'être passé 
Oui j'ai eu envie de tester le "tout bois" mais comme je ne sais pas sculpter directement en volume je passe par l'étape du squelette. Je vais pouvoir passer bientot a la sculpture en m'appuyant sur les lignes de symétrie de ces "couples".
Mais d'abord, la lime à épaissir !
des gros blocs de balsa posés et collés dans les trous quoi
Et ensuite, on passe à la sculpture; grossière tout d'abord, et je vous garantit que ça chie du copeau !
Prochaine étape , le ponçage.
Oui j'ai eu envie de tester le "tout bois" mais comme je ne sais pas sculpter directement en volume je passe par l'étape du squelette. Je vais pouvoir passer bientot a la sculpture en m'appuyant sur les lignes de symétrie de ces "couples".
Mais d'abord, la lime à épaissir !
des gros blocs de balsa posés et collés dans les trous quoi
Et ensuite, on passe à la sculpture; grossière tout d'abord, et je vous garantit que ça chie du copeau !
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par clubalpha Lun 4 Mar 2024 - 17:55
Salut les zamis ;
Etape suivante, la sciure ! Le copeau, c'est bien, mais pas suffisant. Un sac de copeaux, trois kilos de sciure, et il te sortait cinq litres de fines à l'alambic ! Un artiste !
Grosse sciure, non calibrée, avec ma rape à bois, Arthur Butcher Harris. Apres un passage, il reste pas grand chose. Il est de bon ton de faire ceci à l'extérieur du domicile. Question de survie.
Et c'est donc maintenant qu'arrive le fameux torchiboulga. Savant mélange qui ne se transmet que de bouche à oreille de druide et uniquement a proximité de nière.
Le torchiboulga, alias clubby-putty, dit penthotalc, se compose de peinture quelconque , ici blanche, de talc, également blanc, et de vin de la même couleur que l'on n'ajoutera pas aux dux ingrédients précédents puisqu'il sera utilisé à part. En revanche on y adjoindra quelques gouttes de klir pour regler la densité d'épaissitude désirée. pour la premiere couche, qui va combler outre mes désirs, les trous, creux et manques, je met beaucoup de talc, et peu de liant.
Et donc : Sprotch.
Apres séchage il convient de s'en retourner au jardin, afin d'admirer les cerisiers en fleur, avant de les noyer sous la poussière de torchis qui compromettra toute récolte sur les dix-sept prochaines années. De toutes façons ce sont ces saloperies de merles qui en profitent.
Ca prend forme !
Sur le chemin du retour, nous passerons par le sous-sol ou nous en profiterons pour un rien d'usinage. Faut bien caser le siège.
N'ayant aucune doc sur l'interieur (coucou Stephane) j'ai utilisé celui du Macchi MC72 de chez Canon (papercraft), ça fera illusion...
Rajout d'épaisseur à l'intrados, je le trouvais pas assez bombé. Ceci n'est pas du tamya putty mais bien du penthothalc Hellgrau
Puis, la résine est de sortie. Ce n'est pas à proprement parler une résine A+B mais plus une suspension dans un produit nocif quelconque, entre le gaz moutarde et l'agent orange, dont les vapeurs peuvent tuer une vache à cent pas. A faire en exterieur aussi. Mais ça "résine" le papier tellement qu'il devient du plastique !
puis re-torchis, mais gris. en couche plus fine cette fois, splitch splitch splitch, pas sprotch
Et voilà, c'est reparti pour une journée de sechage. Ou deux. Ou plus. et donc à plus !
Etape suivante, la sciure ! Le copeau, c'est bien, mais pas suffisant. Un sac de copeaux, trois kilos de sciure, et il te sortait cinq litres de fines à l'alambic ! Un artiste !
Grosse sciure, non calibrée, avec ma rape à bois, Arthur Butcher Harris. Apres un passage, il reste pas grand chose. Il est de bon ton de faire ceci à l'extérieur du domicile. Question de survie.
Et c'est donc maintenant qu'arrive le fameux torchiboulga. Savant mélange qui ne se transmet que de bouche à oreille de druide et uniquement a proximité de nière.
Le torchiboulga, alias clubby-putty, dit penthotalc, se compose de peinture quelconque , ici blanche, de talc, également blanc, et de vin de la même couleur que l'on n'ajoutera pas aux dux ingrédients précédents puisqu'il sera utilisé à part. En revanche on y adjoindra quelques gouttes de klir pour regler la densité d'épaissitude désirée. pour la premiere couche, qui va combler outre mes désirs, les trous, creux et manques, je met beaucoup de talc, et peu de liant.
Et donc : Sprotch.
Apres séchage il convient de s'en retourner au jardin, afin d'admirer les cerisiers en fleur, avant de les noyer sous la poussière de torchis qui compromettra toute récolte sur les dix-sept prochaines années. De toutes façons ce sont ces saloperies de merles qui en profitent.
Ca prend forme !
Sur le chemin du retour, nous passerons par le sous-sol ou nous en profiterons pour un rien d'usinage. Faut bien caser le siège.
N'ayant aucune doc sur l'interieur (coucou Stephane) j'ai utilisé celui du Macchi MC72 de chez Canon (papercraft), ça fera illusion...
Rajout d'épaisseur à l'intrados, je le trouvais pas assez bombé. Ceci n'est pas du tamya putty mais bien du penthothalc Hellgrau
Puis, la résine est de sortie. Ce n'est pas à proprement parler une résine A+B mais plus une suspension dans un produit nocif quelconque, entre le gaz moutarde et l'agent orange, dont les vapeurs peuvent tuer une vache à cent pas. A faire en exterieur aussi. Mais ça "résine" le papier tellement qu'il devient du plastique !
puis re-torchis, mais gris. en couche plus fine cette fois, splitch splitch splitch, pas sprotch
Et voilà, c'est reparti pour une journée de sechage. Ou deux. Ou plus. et donc à plus !
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par gege320 Mar 5 Mar 2024 - 23:20
Montage très intéressant, çà prend forme.
Gérard
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par titelouze Mar 5 Mar 2024 - 23:59
Hello
"(...)penthotalc(...)"
"(...)penthotalc(...)"
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par clubalpha Mer 6 Mar 2024 - 11:24
Merci les copains ! Sympa ! 
Pour la suite, il me fallait un coup de découpe pour les sorties d'échappement, alors, pour ne pas "gacher" une feuille de bristol pour une si petite pièce, j'ai downsized mon fichier initial du 1/48 au 1/72, juste comme ça pour rire
Bah .. ça marche en fait ! je vous balancerai le fichier silhouette quelque part, au cas ou quelqu'un veuille jouer.
Je vous ai même fait la notice :
C'est du bristol 2/10ème, pas de l'evergreen
C'est rigolo, ça se monte tout seul, un peu comme les puzzles 3D "Tyranosaure" des bacs à un euro. C'est tout petit, mais c'est rigolo. Je me demande avec quoi je vais remplir les volumes tiens ... du riz ? c'est original tiens, un risotto au talc. Avec de la sauce tomate pour la couleur .
Mais revenons aux choses sérieuses. Le gros. Non pas moi, lui :
Donc la verrière ou tout au moins son armature, et les 16 sorties d'échappement du gros moulin, non pas à vent mais à oxyde d'azote, CO2 et PM10. Echappement libre, pas de place pour le FAP et l'adblue. C'est donc une simple bande de bristol perforée et contrecollée.
Puis l'on passe au boulgage. Ce que j'aime aussi dans le clubby-petit, pardon putty, c'est qu'on peut choisir sa couleur. Gris pour la celulle, noir pour la canopo (Des canopi, une canopo). Ca permet de visualiser le travail bien plus facilement. J'aime.
une première couche donc. Il en faudra plusieurs, le volume étant relativement conséquent. j'en ai mis aussi sur l'avant pour integrer les plaques de sortie d'échappement à la celulle.
Alors évidement, j'ai mis beaucoup de poudre et peu de peinture. Deux truelles de talc pour deux gouttes de peinture. (truelle miniature, mais truelle quand même)
Eh bien apres ponçage de cette premiere couche, il n'en manque finalement pas tant que ça. Deux couches suffiront sans doute.
Et je pense avoir atteint en terme de scratch, un niveau unique. Enfin, un niveau unic .....r.....
YES !
C'est ressemblant hein ?
Allez, a tuttiarrivedetchitchix
Pour la suite, il me fallait un coup de découpe pour les sorties d'échappement, alors, pour ne pas "gacher" une feuille de bristol pour une si petite pièce, j'ai downsized mon fichier initial du 1/48 au 1/72, juste comme ça pour rire
Bah .. ça marche en fait ! je vous balancerai le fichier silhouette quelque part, au cas ou quelqu'un veuille jouer.
Je vous ai même fait la notice :
C'est du bristol 2/10ème, pas de l'evergreen
C'est rigolo, ça se monte tout seul, un peu comme les puzzles 3D "Tyranosaure" des bacs à un euro. C'est tout petit, mais c'est rigolo. Je me demande avec quoi je vais remplir les volumes tiens ... du riz ? c'est original tiens, un risotto au talc. Avec de la sauce tomate pour la couleur .
Mais revenons aux choses sérieuses. Le gros. Non pas moi, lui :
Donc la verrière ou tout au moins son armature, et les 16 sorties d'échappement du gros moulin, non pas à vent mais à oxyde d'azote, CO2 et PM10. Echappement libre, pas de place pour le FAP et l'adblue. C'est donc une simple bande de bristol perforée et contrecollée.
Puis l'on passe au boulgage. Ce que j'aime aussi dans le clubby-petit, pardon putty, c'est qu'on peut choisir sa couleur. Gris pour la celulle, noir pour la canopo (Des canopi, une canopo). Ca permet de visualiser le travail bien plus facilement. J'aime.
une première couche donc. Il en faudra plusieurs, le volume étant relativement conséquent. j'en ai mis aussi sur l'avant pour integrer les plaques de sortie d'échappement à la celulle.
Alors évidement, j'ai mis beaucoup de poudre et peu de peinture. Deux truelles de talc pour deux gouttes de peinture. (truelle miniature, mais truelle quand même)
Eh bien apres ponçage de cette premiere couche, il n'en manque finalement pas tant que ça. Deux couches suffiront sans doute.
Et je pense avoir atteint en terme de scratch, un niveau unique. Enfin, un niveau unic .....r.....
YES !
C'est ressemblant hein ?
Allez, a tuttiarrivedetchitchix
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par clubalpha Lun 11 Mar 2024 - 11:36
Je continue. Je vous remercie par avance de ne pas me dénoncer à l'Urssaf, car je dois l'avouer : Je travaille au noir.
L'idée est simple. Tant que tu vois du noir, tu pionces. Ponces.
La séparation s'est bien passé. le master canopo peut aller faire une petite pause en attendant son tour.
Le scotchalu est de sortie. Celà permet de faire les "plaques" de tôles jointives sans gravure. Et l'épaisseur de métal permet de riveter tranquille. Evidement, c'est un peu long, il faut les faire une par une. Du coup j'en fait que deux pour le capot, et le reste restera discret. C'est un racer, pas une locomotive.
Une fois surfacée, la jointure et le rivetage ressort très finement.
Les gouvernes en revanche sont gravées à la scie, il faut que ce soit plus visible. La scie extra fine, mais la scie quand même.
Et pschitt de surfacer pour finir.
Maintenant le petit. J'ai rajouté les "tubes" pour donner la forme du capotage
Alors pour continuer la série "idée de m..de", j'ai voulu retester un genre de mousse polymerdéthane, un truc que j'avais déjà testé et que j'avais déjà trouvé nul, faut être con quand même. et donc je confirme. C'en est.
Bon, passée au blougris boulgras, c'est un peu moins pourri mais définitivement faut que je balance ce truc à la benne.
Je colle les plaques figurant la baignoire (c'est du papier, classique, de base, 80g, imbibé de tisane de viagra pour le rendre bien dur.)
Alors, un autre truc testé sur ce petit Cmasa, et cette fois je valide, c'est le plastiroc. Genre de pâte à modeler monocomposant, visiblement à base aqueuse, et qui sèche à l'air libre, étonnamment sans retrait. J'en ai testé pas mal des mastics et des pâtes, du béton armé estampillé Organisation Todt à la mayonnaise plâtre-huile d'olive, mais sans jamais trouvé le bon truc. Trop dur, trop de retrait, trop puant, trop cher, trop nul.
Et l'autre jour sur le forum 1914-18 de Xan j'ai lu un post tout à fait interessant d'un coreligionaire utilisant celui-ci et semblant en être satisfait.
Eh ben pareil. Satisfait. C'est pas trop cher, ça pue pas, y'a pas de retrait, ça se ponce assez facilement, ca reste solide, ca se lisse au doigt. ASpect une fois sec :
Et une fois poncé :
Une couche de gloubrun-boulga par dessus
Pour la verrière et les échappements, je fais pareil que le gros.
Et re-bloubrun
Vraiment, c'est pas mal. Je recommande. Ca m'ouvre des perspectives scratcheuses
Une belle ligne cet avion je trouve
Non ?
Allez à tutti
(oui j'ai mis des mitrailleuses sous l'aile du petit, façon Caudron 714 (coucou Tiphy). Non c'est pas sérieux, je sais, mais comme le disais Georges, "le temps ne fait rien à l'affaire...." )
L'idée est simple. Tant que tu vois du noir, tu pionces. Ponces.
La séparation s'est bien passé. le master canopo peut aller faire une petite pause en attendant son tour.
Le scotchalu est de sortie. Celà permet de faire les "plaques" de tôles jointives sans gravure. Et l'épaisseur de métal permet de riveter tranquille. Evidement, c'est un peu long, il faut les faire une par une. Du coup j'en fait que deux pour le capot, et le reste restera discret. C'est un racer, pas une locomotive.
Une fois surfacée, la jointure et le rivetage ressort très finement.
Les gouvernes en revanche sont gravées à la scie, il faut que ce soit plus visible. La scie extra fine, mais la scie quand même.
Et pschitt de surfacer pour finir.
Maintenant le petit. J'ai rajouté les "tubes" pour donner la forme du capotage
Alors pour continuer la série "idée de m..de", j'ai voulu retester un genre de mousse polymerdéthane, un truc que j'avais déjà testé et que j'avais déjà trouvé nul, faut être con quand même. et donc je confirme. C'en est.
Bon, passée au blougris boulgras, c'est un peu moins pourri mais définitivement faut que je balance ce truc à la benne.
Je colle les plaques figurant la baignoire (c'est du papier, classique, de base, 80g, imbibé de tisane de viagra pour le rendre bien dur.)
Alors, un autre truc testé sur ce petit Cmasa, et cette fois je valide, c'est le plastiroc. Genre de pâte à modeler monocomposant, visiblement à base aqueuse, et qui sèche à l'air libre, étonnamment sans retrait. J'en ai testé pas mal des mastics et des pâtes, du béton armé estampillé Organisation Todt à la mayonnaise plâtre-huile d'olive, mais sans jamais trouvé le bon truc. Trop dur, trop de retrait, trop puant, trop cher, trop nul.
Et l'autre jour sur le forum 1914-18 de Xan j'ai lu un post tout à fait interessant d'un coreligionaire utilisant celui-ci et semblant en être satisfait.
Eh ben pareil. Satisfait. C'est pas trop cher, ça pue pas, y'a pas de retrait, ça se ponce assez facilement, ca reste solide, ca se lisse au doigt. ASpect une fois sec :
Et une fois poncé :
Une couche de gloubrun-boulga par dessus
Pour la verrière et les échappements, je fais pareil que le gros.
Et re-bloubrun
Vraiment, c'est pas mal. Je recommande. Ca m'ouvre des perspectives scratcheuses
Une belle ligne cet avion je trouve
Non ?
Allez à tutti
(oui j'ai mis des mitrailleuses sous l'aile du petit, façon Caudron 714 (coucou Tiphy). Non c'est pas sérieux, je sais, mais comme le disais Georges, "le temps ne fait rien à l'affaire...." )
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par cougar351 Mar 12 Mar 2024 - 9:37
ya pas à dire, il sait y faire le bougre 
le suivant sera le Stratonef H-22 ??
le suivant sera le Stratonef H-22 ??
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par fourneau Mar 12 Mar 2024 - 9:42
des ailes de Spit une queue de payen , un capot moteur de mig3 , z'ontfait une sacré partouze le ingénieurs
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par clubalpha Mar 12 Mar 2024 - 10:28
Merci les amis !! 
Un ami masterien l'a déjà fait le Stratonef
Je me permet :
https://master194.com/forum/viewtopic.php?t=125268
En revanche un projet racer Payen pourquoi pas, ou un CAPRA R30 comme me le suggereait S. Guerrero ... Why not ... mais chaque chose en son temps.
Il manque encore un ou deux morceaux sur celui (ceux) ci ..
cougar351 a écrit:
le suivant sera le Stratonef H-22 ??
Un ami masterien l'a déjà fait le Stratonef
Je me permet :
https://master194.com/forum/viewtopic.php?t=125268
En revanche un projet racer Payen pourquoi pas, ou un CAPRA R30 comme me le suggereait S. Guerrero ... Why not ... mais chaque chose en son temps.
Il manque encore un ou deux morceaux sur celui (ceux) ci ..
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par clubalpha Jeu 14 Mar 2024 - 16:56
Salut les kikis ; amateurs de belles lignes et de performances d'exception
Un élément moins spectaculaire mais très important , le cône. Ce n'est pas mon premier, ça ne devrait pas poser de problemes, on me dit souvent d'ailleurs, que je suis un sacré cônard.
La fabrication est simple et met en œuvre divers jouets pour très jeunes enfants, Mako moulage, mako tour de potier, etc .. avec peut être une réserve sur Mako-perceuse-broyeuse-défonceuse.
Donc, deux couples, et notre ami Plastorocco (si, Fredo ! ) est de sortie derechef. Ensuite; ça tourne !
Le premier jet est rarement suffisant, on prend donc la précaution de bien enduire le bout d'une substance gluante, (du talc et du noir), avant de remettre le couvert. Au deuxième passage, la forme est atteinte.
La microscie passe dire un petit coucou pour matérialiser la coupure entre les deux parties contrarotatives, et l'on enchaine sur un trou par devant , et un par derrière, bien dans l'axe. Attention, pas trop brutalement pour ne pas détruire ce bel ouvrage.
Apres quoi un polissage en rêgle s'ensuit, fignolé au Rub'N'pleinlesdoigts pour obtenir un fini bien alu.
Et voilà ! Alu pour le gros, blanc pour le petit. Mais quel pif ! A coté de lui Cyrano on l'appellerait face-de-crêpe ! Planche à pain ! Homo plate !
Sur le petit, vous ne le voyez pas car j'ai judicieusement cadré la photo mais il y a une reprise à prévoir sous le menton.
Gloubimachin va s'en occuper.
Tiens, j'ai oublié les pals. C'est ballot pour un inquisiteur....
Un élément moins spectaculaire mais très important , le cône. Ce n'est pas mon premier, ça ne devrait pas poser de problemes, on me dit souvent d'ailleurs, que je suis un sacré cônard.
La fabrication est simple et met en œuvre divers jouets pour très jeunes enfants, Mako moulage, mako tour de potier, etc .. avec peut être une réserve sur Mako-perceuse-broyeuse-défonceuse.
Donc, deux couples, et notre ami Plastorocco (si, Fredo ! ) est de sortie derechef. Ensuite; ça tourne !
Le premier jet est rarement suffisant, on prend donc la précaution de bien enduire le bout d'une substance gluante, (du talc et du noir), avant de remettre le couvert. Au deuxième passage, la forme est atteinte.
La microscie passe dire un petit coucou pour matérialiser la coupure entre les deux parties contrarotatives, et l'on enchaine sur un trou par devant , et un par derrière, bien dans l'axe. Attention, pas trop brutalement pour ne pas détruire ce bel ouvrage.
Apres quoi un polissage en rêgle s'ensuit, fignolé au Rub'N'pleinlesdoigts pour obtenir un fini bien alu.
Et voilà ! Alu pour le gros, blanc pour le petit. Mais quel pif ! A coté de lui Cyrano on l'appellerait face-de-crêpe ! Planche à pain ! Homo plate !
Sur le petit, vous ne le voyez pas car j'ai judicieusement cadré la photo mais il y a une reprise à prévoir sous le menton.
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par cougar351 Ven 15 Mar 2024 - 10:21
après ça, un scan, puis impression 3D, puis commercialisation, puis richesse incommensurable, puis célébrité planétaire
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par clubalpha Ven 15 Mar 2024 - 10:33
cougar351 a écrit:après ça, un scan, puis impression 3D, puis commercialisation, puis richesse incommensurable, puis célébrité planétaire
Excellent programme !
Justement le club vient de faire l'acquisition d'un (petit) scanner 3D...
hé hé
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par cougar351 Dim 17 Mar 2024 - 9:52
et hop, un expert en avion si vil
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par clubalpha Mer 27 Mar 2024 - 18:30
Salut les amis amateur de rouge,
Petit retour en arrière; avec la gloubification d'un petit manque sur la partie inférieure du capotage, sur le petiot.
Et passage d'un jaune sable très seyant. Le fait est peu connu, mais tout comme pour le Caudron, d'éminents penseurs eurent la brillante idée de vouloir transformer ce racer en chasseur, et l'avait ainsi peint aux couleurs guerrières a des fins de propagande en lui adjoignant des fausses mitrailleuses en carton. Une antique boite de Macchi lui prêtera sa déco, mais nous allons, là aussi, y revenir.
Revenons un instant sur la, ou plutôt sur les verrières, que j'ai réalisées fort classiquement par la technique que m'avait enseignée un inquisiteur et mettant en œuvre une bougie. Les armatures sont en alu.
J'ai torché vite fait un intérieur basique, siège, manche, tableau de bord et harnais. Notez ici la magie du gloubi, transformant un joint moche, en haut à droite (si , si , moche) en une illusion d'ajustement nickelissime. C'est magique. J'adore.
Un passage aux huiles pour l'aspect opérationnel (les propagandistes de l'époque avaient le souci du détail !! )
Et voilà, c'est l'heure des décal....aaaaaaaAAAAAAAAHHHHHHHH
Ah non c'est l'heure de retourner dans la boite des oubliettes, car les décals n'ont pas résisté à l'usure du temps ... et je n'en ai pas d'autres. Alors on verra plus-tard-beaucoup-plus-tard si jamais un jour à l'insu de mon plein gré je tombe sur une autre planche de raviolis..
Ce n'est pas bien grâve, car ce n'est qu'une plaisanterie, le vrai , c'est le rouge.
Même s'il est rose !
Eh oui! Je ne sais plus trop qui m'a dit que pour un avion rouge, il fallait sous-coucher en rose !
Et donc le rouge s'ensuit :
Encore une illustration de la vanité dans la recherche de la "vraie" , la "bonne" couleur. Ici, la même peinture, sur trois supports différents, du papier blanc, de l'alu alu, et l'avion rose, donc. Comme quoi y'a rouge et rouge. Château Denis contre Château Laffitte
Légère déconvenue sur la verrière, le rouge n'accroche pas sur l'alu, pourtant paille-de-ferrisé comme il se doit. J'ai du tout virer et sortir le triple zéro, exercice que je n'apprécie pas plus que ça, mais bon, faut ce qu'il faut comme on dit.
J'ai travaillé le rouge aux huiles , histoire de faire vivre cette teinte unie. Rouge crimson, rose et carmin, en petites touches, et on tire.
Pas de noir de fumée ni de brun merzlota décongelée, c'est un avion de course !
Je voulais que ça ne se voie pas trop, c'est très réussi: On ne voit rien du tout !
En vrai si, mais c'est excessivement difficile à photographier ...
Bon disons qu'on devine vaguement. Mais je ne veux pas exagérer. Le mieux est l'ennemi du .. moins mieux. Du à chier, oui, effectivement.
Voilà.. Maintenant se pose la question du refroidissement. De ce que je sais , le système de refroidissement envoie d'abord le liquide chaud dans la partie arrière ou se trouve un mécanisme de refroidissement par évaporation partielle du fluide. Puis le liquide est renvoyé dans les ailes ou il se refroidit encore avant d'être renvoyé au moteur.
Maintenant la question, c'est : Je laisse rouge ou je met des panneaux de cuivre, ou des tuyaux de cuivre sur les ailes comme sur tous les racers de cette époque ?
Petit retour en arrière; avec la gloubification d'un petit manque sur la partie inférieure du capotage, sur le petiot.
Et passage d'un jaune sable très seyant. Le fait est peu connu, mais tout comme pour le Caudron, d'éminents penseurs eurent la brillante idée de vouloir transformer ce racer en chasseur, et l'avait ainsi peint aux couleurs guerrières a des fins de propagande en lui adjoignant des fausses mitrailleuses en carton. Une antique boite de Macchi lui prêtera sa déco, mais nous allons, là aussi, y revenir.
Revenons un instant sur la, ou plutôt sur les verrières, que j'ai réalisées fort classiquement par la technique que m'avait enseignée un inquisiteur et mettant en œuvre une bougie. Les armatures sont en alu.
J'ai torché vite fait un intérieur basique, siège, manche, tableau de bord et harnais. Notez ici la magie du gloubi, transformant un joint moche, en haut à droite (si , si , moche) en une illusion d'ajustement nickelissime. C'est magique. J'adore.
Un passage aux huiles pour l'aspect opérationnel (les propagandistes de l'époque avaient le souci du détail !! )
Et voilà, c'est l'heure des décal....aaaaaaaAAAAAAAAHHHHHHHH
Ah non c'est l'heure de retourner dans la boite des oubliettes, car les décals n'ont pas résisté à l'usure du temps ... et je n'en ai pas d'autres. Alors on verra plus-tard-beaucoup-plus-tard si jamais un jour à l'insu de mon plein gré je tombe sur une autre planche de raviolis..
Ce n'est pas bien grâve, car ce n'est qu'une plaisanterie, le vrai , c'est le rouge.
Même s'il est rose !
Eh oui! Je ne sais plus trop qui m'a dit que pour un avion rouge, il fallait sous-coucher en rose !
Et donc le rouge s'ensuit :
Encore une illustration de la vanité dans la recherche de la "vraie" , la "bonne" couleur. Ici, la même peinture, sur trois supports différents, du papier blanc, de l'alu alu, et l'avion rose, donc. Comme quoi y'a rouge et rouge. Château Denis contre Château Laffitte
Légère déconvenue sur la verrière, le rouge n'accroche pas sur l'alu, pourtant paille-de-ferrisé comme il se doit. J'ai du tout virer et sortir le triple zéro, exercice que je n'apprécie pas plus que ça, mais bon, faut ce qu'il faut comme on dit.
J'ai travaillé le rouge aux huiles , histoire de faire vivre cette teinte unie. Rouge crimson, rose et carmin, en petites touches, et on tire.
Pas de noir de fumée ni de brun merzlota décongelée, c'est un avion de course !
Je voulais que ça ne se voie pas trop, c'est très réussi: On ne voit rien du tout !
En vrai si, mais c'est excessivement difficile à photographier ...
Bon disons qu'on devine vaguement. Mais je ne veux pas exagérer. Le mieux est l'ennemi du .. moins mieux. Du à chier, oui, effectivement.
Voilà.. Maintenant se pose la question du refroidissement. De ce que je sais , le système de refroidissement envoie d'abord le liquide chaud dans la partie arrière ou se trouve un mécanisme de refroidissement par évaporation partielle du fluide. Puis le liquide est renvoyé dans les ailes ou il se refroidit encore avant d'être renvoyé au moteur.
Maintenant la question, c'est : Je laisse rouge ou je met des panneaux de cuivre, ou des tuyaux de cuivre sur les ailes comme sur tous les racers de cette époque ?
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Re: CMASA Corsa Stiavelli 15 - Château-Denis
par cougar351 Ven 29 Mar 2024 - 8:38
Excellentissime, Sade et Chire
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