Laird Super Solution Williams 1/32
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Laird Super Solution Williams 1/32
Bonjour,
J’ai le plaisir de poster aujourd’hui avec une manière un peu inhabituelle de présenter un montage, car celui-ci est d’ores-et-déjà terminé.
Ce qui suit est la présentation d’une traite du travail effectué, et je n’ai pas posté au fur et à mesure car je doutais de moi et je ne voulais pas encore me retrouver avec un sujet non fini de plus.
C’est donc pour moi une grande victoire, car j’ai enfin réussi à monter un kit « from the box », et en un peu moins d’un mois !!!!!
Quand je dis « from the box », il faut comprendre par là que j’ai juste corrigé ce qui était in-montable dans l’état et seules quatre pièces ont été (un tout petit peu) améliorées : le siège (sangles), le moteur (câbles d’allumage), la fixation du capot moteur et la verrière (rails de coulissement).
Pour ne pas vous assommer d’un coup, je vais présenter ce montage en trois posts d’ici dimanche soir.
Voici la présentation de cette boite :
Le box-art en détail:
Le contenu de la boite, c’est pas lourd, et c’est ce qui m’a décidé à tenter un montage « from the box ».
Les ailes sont moulées d’une pièce, le poste de pilotage est succin, mais c’est normal pour un avion de course, Williams propose l’option pneus vinyle ou pneus plastique.
Le plan de montage est minimaliste, un plan avec une page de texte explicatif au verso…. Ajoutons à cela qu’il n’y a aucun pion de centrage, on comprend qu’il va falloir être attentif !
L’état des pièces est très moyen, avec beaucoup de bavures et quelques grosses retassures. L’hélice en est un bon exemple, mais le montage me prouvera que le kit est bien conçu et qu’après ébavurage, les pièces s’ajustent bien.
Concernant la partie historique de l’engin, c’est un avion de course construit par Laird en 1931 pour la Cleveland Speed Foundation en vue de participer à différentes épreuves.
Après un premier vol le 22 août 1931 à Chicago, l’avion, piloté par le célèbre Jimmy Doolittle, a commencé par gagner le Bendix Trophy à la vitesse de 223 mph.
Il a ensuite abandonné sur problème moteur lors du Thompson Trophy avant d’établir un nouveau record de vitesse entre Ottawa et Mexico. En effet en octobre 1931, la distance entre ces deux capitales fut couverte en 12h36, toujours avec le même pilote.
En 1932, Shell sponsorisa l’avion et le fit modifier avec un train rétractable, mais cela mena à un incident au cours duquel l’avion se posa sur le ventre.
Il ne vola plus et fut donné en 1948 au Smithsonian Air & Space Museum.
Il est apparemment conservé et exposé au AirVenture Museum à Oshkosh, Wisconsin :
Il existe aussi une réplique volante qui présente quelques petites différences au niveau de la décoration :
On remarquera l’aérodynamique soignée de la machine, ainsi que sa petite taille! Le pilote était vraiment enfermé dans un minuscule cockpit derrière un moteur de + de 500 CV !!!
Les données techniques de la bestiole :
Longueur : 5.94 m
Envergure : 6.40 m
Poids à vide : 717 kgs
Poids en charge : 1289 kgs
Carburant : 420 L
Moteur : Pratt & Whitney R-1340 Radial, 9 cylindres, 535 CV
Allez, place au montage:
Step 1 :
Samedi 28/06:
On commence d’une manière non conventionnelle par le collage des deux demi capots moteur. Juste histoire de voir si les pièces vont s'assembler à peu près bien ou pas du tout!
Le masticage pointe déjà le bout de son nez….
Ensuite, de manière toujours non-conventionnelle, on colle ensemble les demi-fuselages. En travaillant section par section, ça tombe juste et il n’y a pas trop de décalage :
Entre le séchage de chaque section, je commence à assembler le moteur, car j’ai l’impression que c’est lui qui va tenir le capot en place. La suite me prouvera que j’ai raison, et qu’il faut donc faire gaffe aux ajustages.
Le carter principal avec les tubes d’admission :
Les cylindres collés en place et l’araignée les tubes de poussoirs, qui s’avèrent bien trop longs :
Même si c’est « from the box », on ne monte pas un moteur sans y mettre les câbles d’allumage… !
Le fuselage étant sec, la pose d’un léger mastic au niveau des plans de joints :
Le siège, bien qu’en plastique, est présenté comme de la photodec, à savoir à plier et coller en forme. J’ai décidé de le couvrir de tape alu :
Le voilà assemblé :
Les premières manipulations du fuselage m’ayant fait accrocher plusieurs fois la béquille de queue, et celle-ci étant presque tombée, je la vire pour la remplacer par un bout de trombone. Indestructible !!!!
Dans la foulée, la dérive est braquée par simple pliage :
La mise en place de l’aile inférieure a demandé une longue séance de ponçage et d’ajustage, qui s’est terminée par la pose de deux petites cales pour assurer un alignement parfait :
Après collage en place, le raccord demande deux masticages, d’une part à cause des joints un peu larges, et d’autre part à cause de deux grosses retassures:
La mise en place de la planche de bord a été acrobatique. Heureusement la forme correspondait au fuselage, et il a suffi de la coller provisoirement sur une tige de grappe pour la mettre en place en passant par le nez de l’avion !
Par contre la cloison arrière ne correspond pas du tout!
Il était dès lors plus simple de rogner un peu sur le fuselage arrière puis d’intercaler une fine carte plastique :
Pour terminer cette première journée, le noir brillant de base a été posé sur le moteur :
Step 2 :
Dimanche 29/06:
Le deuxième jour, j’ai commencé par ajuster l’aile supérieure au fuselage. Il faut absolument qu’elle tombe juste, car elle va devoir être peinte à part et collée en place au dernier moment, juste avant le haubanage. Preuve de la bonne qualité de la maquette, après un peu d’ajustage, elle se glisse sous la verrière et se pose sur l’avant du fuselage à la perfection.
Petite « amélioration » : les rails de la verrière. Ils sont vaguement représentés par deux bossages sur l’aile, et absents sur les bords du plexi.
Comme c’est fort visible en réalité et facile à reproduire, les bossages de l’aile sont virées et remplacés par deux fins profils, et un profil riveté est ajouté de chaque côté du plexi :
Après ponçage des deux masticages successifs de la jonction de l’aile inférieure, un primer a été appliqué à la bombe pour vérifier les défauts: c’est bon!
On peut donc passer à la peinture de l’intérieur du cockpit.
On commence par cacher soigneusement le plexi supérieur, ainsi que les deux petites fenêtres situées à l’avant de part et d’autre de la planche de bord. Le plus dur étant de faire correspondre le cache intérieur et l’extérieur.
Puis une couche d’alu a été posée à la bombe (Humbrol).
Pendant que la peinture séchait, j’ai fabriqué des sangles en plomb avec des boucles en fin fil de fer pour garnir le siège.
Une fois la peinture sèche, j’ai fignolé quelques rares détails dans le cockpit, peint les sangles du siège et posé la décalque du tableau de bord qui a ensuite été vernie en brillant.
A noter que si la réplique volante montre une planche de bord noire avec un intérieur peint en gris clair, j’ai trouvé une photo du modèle original qui montre que, conformément aux instructions du kit Williams, tout l’intérieur de l’avion était laissé en alu naturel. Sur un avion de course, on gagne du poids partout où on peut !!!!
Je me suis ensuite attaqué aux trains.
J’ai commencé par virer les tenons de centrage et je les ai remplacés par des bouts de trombone, pour renforcer le montage :
Comme dit au début de ce post, Williams propose l’option pneus en vinyle, que j’ai évidemment choisie. Ma compagne m’ayant peint les jantes pendant la pose de l’alu sur son Kawanishi, les roues ont été vite assemblées :
Seul problème, mais de taille, elles ne rentrent pas dans les pantalons de train !!!
Après examen des photos du réel, il semblerait que les carénages de roue du kit sont un peu trop fins. J’ai donc décidé de les épaissir en intercalant un bout de carte plastique épaisse entre les deux demi-coquilles des carénages :
Après ponçage à raz de la carte intercalée, un petit mastic a été posé.
En attendant qu’il sèche, j’ai collé en place la grande verrière, et je l’ai étanchéifiée au Maskol en vue des opérations de peinture futures (proches) :
Un petit montage à blanc pour terminer la journée: ça commence à ressembler à un avion!
Bons montages et à demain!
J’ai le plaisir de poster aujourd’hui avec une manière un peu inhabituelle de présenter un montage, car celui-ci est d’ores-et-déjà terminé.
Ce qui suit est la présentation d’une traite du travail effectué, et je n’ai pas posté au fur et à mesure car je doutais de moi et je ne voulais pas encore me retrouver avec un sujet non fini de plus.
C’est donc pour moi une grande victoire, car j’ai enfin réussi à monter un kit « from the box », et en un peu moins d’un mois !!!!!
Quand je dis « from the box », il faut comprendre par là que j’ai juste corrigé ce qui était in-montable dans l’état et seules quatre pièces ont été (un tout petit peu) améliorées : le siège (sangles), le moteur (câbles d’allumage), la fixation du capot moteur et la verrière (rails de coulissement).
Pour ne pas vous assommer d’un coup, je vais présenter ce montage en trois posts d’ici dimanche soir.
Voici la présentation de cette boite :
Le box-art en détail:
Le contenu de la boite, c’est pas lourd, et c’est ce qui m’a décidé à tenter un montage « from the box ».
Les ailes sont moulées d’une pièce, le poste de pilotage est succin, mais c’est normal pour un avion de course, Williams propose l’option pneus vinyle ou pneus plastique.
Le plan de montage est minimaliste, un plan avec une page de texte explicatif au verso…. Ajoutons à cela qu’il n’y a aucun pion de centrage, on comprend qu’il va falloir être attentif !
L’état des pièces est très moyen, avec beaucoup de bavures et quelques grosses retassures. L’hélice en est un bon exemple, mais le montage me prouvera que le kit est bien conçu et qu’après ébavurage, les pièces s’ajustent bien.
Concernant la partie historique de l’engin, c’est un avion de course construit par Laird en 1931 pour la Cleveland Speed Foundation en vue de participer à différentes épreuves.
Après un premier vol le 22 août 1931 à Chicago, l’avion, piloté par le célèbre Jimmy Doolittle, a commencé par gagner le Bendix Trophy à la vitesse de 223 mph.
Il a ensuite abandonné sur problème moteur lors du Thompson Trophy avant d’établir un nouveau record de vitesse entre Ottawa et Mexico. En effet en octobre 1931, la distance entre ces deux capitales fut couverte en 12h36, toujours avec le même pilote.
En 1932, Shell sponsorisa l’avion et le fit modifier avec un train rétractable, mais cela mena à un incident au cours duquel l’avion se posa sur le ventre.
Il ne vola plus et fut donné en 1948 au Smithsonian Air & Space Museum.
Il est apparemment conservé et exposé au AirVenture Museum à Oshkosh, Wisconsin :
Il existe aussi une réplique volante qui présente quelques petites différences au niveau de la décoration :
On remarquera l’aérodynamique soignée de la machine, ainsi que sa petite taille! Le pilote était vraiment enfermé dans un minuscule cockpit derrière un moteur de + de 500 CV !!!
Les données techniques de la bestiole :
Longueur : 5.94 m
Envergure : 6.40 m
Poids à vide : 717 kgs
Poids en charge : 1289 kgs
Carburant : 420 L
Moteur : Pratt & Whitney R-1340 Radial, 9 cylindres, 535 CV
Allez, place au montage:
Step 1 :
Samedi 28/06:
On commence d’une manière non conventionnelle par le collage des deux demi capots moteur. Juste histoire de voir si les pièces vont s'assembler à peu près bien ou pas du tout!
Le masticage pointe déjà le bout de son nez….
Ensuite, de manière toujours non-conventionnelle, on colle ensemble les demi-fuselages. En travaillant section par section, ça tombe juste et il n’y a pas trop de décalage :
Entre le séchage de chaque section, je commence à assembler le moteur, car j’ai l’impression que c’est lui qui va tenir le capot en place. La suite me prouvera que j’ai raison, et qu’il faut donc faire gaffe aux ajustages.
Le carter principal avec les tubes d’admission :
Les cylindres collés en place et l’araignée les tubes de poussoirs, qui s’avèrent bien trop longs :
Même si c’est « from the box », on ne monte pas un moteur sans y mettre les câbles d’allumage… !
Le fuselage étant sec, la pose d’un léger mastic au niveau des plans de joints :
Le siège, bien qu’en plastique, est présenté comme de la photodec, à savoir à plier et coller en forme. J’ai décidé de le couvrir de tape alu :
Le voilà assemblé :
Les premières manipulations du fuselage m’ayant fait accrocher plusieurs fois la béquille de queue, et celle-ci étant presque tombée, je la vire pour la remplacer par un bout de trombone. Indestructible !!!!
Dans la foulée, la dérive est braquée par simple pliage :
La mise en place de l’aile inférieure a demandé une longue séance de ponçage et d’ajustage, qui s’est terminée par la pose de deux petites cales pour assurer un alignement parfait :
Après collage en place, le raccord demande deux masticages, d’une part à cause des joints un peu larges, et d’autre part à cause de deux grosses retassures:
La mise en place de la planche de bord a été acrobatique. Heureusement la forme correspondait au fuselage, et il a suffi de la coller provisoirement sur une tige de grappe pour la mettre en place en passant par le nez de l’avion !
Par contre la cloison arrière ne correspond pas du tout!
Il était dès lors plus simple de rogner un peu sur le fuselage arrière puis d’intercaler une fine carte plastique :
Pour terminer cette première journée, le noir brillant de base a été posé sur le moteur :
Step 2 :
Dimanche 29/06:
Le deuxième jour, j’ai commencé par ajuster l’aile supérieure au fuselage. Il faut absolument qu’elle tombe juste, car elle va devoir être peinte à part et collée en place au dernier moment, juste avant le haubanage. Preuve de la bonne qualité de la maquette, après un peu d’ajustage, elle se glisse sous la verrière et se pose sur l’avant du fuselage à la perfection.
Petite « amélioration » : les rails de la verrière. Ils sont vaguement représentés par deux bossages sur l’aile, et absents sur les bords du plexi.
Comme c’est fort visible en réalité et facile à reproduire, les bossages de l’aile sont virées et remplacés par deux fins profils, et un profil riveté est ajouté de chaque côté du plexi :
Après ponçage des deux masticages successifs de la jonction de l’aile inférieure, un primer a été appliqué à la bombe pour vérifier les défauts: c’est bon!
On peut donc passer à la peinture de l’intérieur du cockpit.
On commence par cacher soigneusement le plexi supérieur, ainsi que les deux petites fenêtres situées à l’avant de part et d’autre de la planche de bord. Le plus dur étant de faire correspondre le cache intérieur et l’extérieur.
Puis une couche d’alu a été posée à la bombe (Humbrol).
Pendant que la peinture séchait, j’ai fabriqué des sangles en plomb avec des boucles en fin fil de fer pour garnir le siège.
Une fois la peinture sèche, j’ai fignolé quelques rares détails dans le cockpit, peint les sangles du siège et posé la décalque du tableau de bord qui a ensuite été vernie en brillant.
A noter que si la réplique volante montre une planche de bord noire avec un intérieur peint en gris clair, j’ai trouvé une photo du modèle original qui montre que, conformément aux instructions du kit Williams, tout l’intérieur de l’avion était laissé en alu naturel. Sur un avion de course, on gagne du poids partout où on peut !!!!
Je me suis ensuite attaqué aux trains.
J’ai commencé par virer les tenons de centrage et je les ai remplacés par des bouts de trombone, pour renforcer le montage :
Comme dit au début de ce post, Williams propose l’option pneus en vinyle, que j’ai évidemment choisie. Ma compagne m’ayant peint les jantes pendant la pose de l’alu sur son Kawanishi, les roues ont été vite assemblées :
Seul problème, mais de taille, elles ne rentrent pas dans les pantalons de train !!!
Après examen des photos du réel, il semblerait que les carénages de roue du kit sont un peu trop fins. J’ai donc décidé de les épaissir en intercalant un bout de carte plastique épaisse entre les deux demi-coquilles des carénages :
Après ponçage à raz de la carte intercalée, un petit mastic a été posé.
En attendant qu’il sèche, j’ai collé en place la grande verrière, et je l’ai étanchéifiée au Maskol en vue des opérations de peinture futures (proches) :
Un petit montage à blanc pour terminer la journée: ça commence à ressembler à un avion!
Bons montages et à demain!
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Re: Laird Super Solution Williams 1/32
Salut,
Passionnant ce montage.
Et richement illustré. On a l'impression d'y être.
En attendant le prochain épisode.
William
Passionnant ce montage.
Et richement illustré. On a l'impression d'y être.
En attendant le prochain épisode.
William
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Re: Laird Super Solution Williams 1/32
Merci William, voici le deuxième épisode:
Step 3 :
Lundi 30/06:
Petite soirée après le travail, juste pour dire que ça continue à avancer.
Pour représenter la couronne de base des fils d’allumage, j’ai simplement mis en forme un fil d’inox au bon diamètre, et j’ai posé l’anneau sur la base des cylindres. Cet anneau sera pincé entre les cylindres et les tiges de culbuteurs :
Ensuite, la couronne avec les tiges de culbuteurs a été collée en place, la longueur des tiges adaptée et la peinture de l’avant du moteur a été terminée. Il restera à peindre les tuyaux d’échappement à l’arrière. Le moteur restera « blinquant » car c’est un avion de records qui était entretenu à la perfection.
Pour terminer la soirée, j’ai reproduit les deux charnières d’ouverture des demi-cockpits.
J’ai simplement collé deux fils de sprue puis je les ai « saucissonnés » après avoir collé une bande cache, car j’avais remarqué sur mon FW-189B que le saucissonnage causait des petites marques sur les tôles adjacentes.
Step 4 :
Mardi 01/07 :
Soirée plus importante ce jour-là.
J’ai terminé le ponçage des pantalons de roues, et je les ai gravés car les lignes de tôles et les vis de fixation des capots de roues sont bien visibles en réalité :
Les jambes de train ont ensuite été collées à la cyano, puis le joint a été réalisé à la cyano épaisse pour éviter toute fissuration qui aurait pu se produire si j’avais mastiqué.
Après avoir soigneusement poncé les raccords des jambes de train, j’ai préparé les mâts des ailes. Sur celui de gauche, il manquait le tube Pitot, fort visible, que j’ai reproduit avec un bout de seringue serti à la cyano dans un trait de scie.
Je me suis ensuite penché sur la problématique de la fixation du capot moteur.
Il vient simplement se poser à serrage autour des cylindres.
Mais cette solution me satisfait très peu, car un collage sur la peinture du moteur ne tiendra pas et risque d’empâter les détails des culasses. J’ai donc imaginé autre chose. J’ai percé 4 trous à 90° autour du nez, à un endroit où rien ne gênera au niveau du moteur. Puis j’ai coupé deux tiges d’Evergreen rond, coupées à la longueur exacte du diamètre intérieur du capot, et je les ai collées en croix :
Maintenant, lorsque j’enfile le capot sur le moteur, il vient poser aussi sur le bout des tiges, et c’est à ces endroits que je le collerai. Les tiges sont peu visibles et le seront encore moins quand l’intérieur du capot sera peint en noir.
Etape suivante, la préparation des surfaces de profondeur. Elles se glissent dans les encoches du fuselage, ce qui a demandé un ajustement précis, car je ne les collerai en place qu’après peinture :
La jonction entre les plans et les gouvernes étant fortement gravée d’origine, il a suffit de plier le plastique pour représenter les gouvernes abaissées.
A part la finition du capot moteur, la bestiole est prête pour les opérations de peinture.
J’ai juste vérifié et percé aux endroits voulus les trous de passage des haubans, puis je me suis offert un petit montage à blanc pour le plaisir des yeux :
Step 5 :
Vendredi 04/07:
Après deux jours sans, j’ai pris le temps ce soirlà de poser le primer sur l’oiseau.
J’ai utilisé du filler automobile en spray de chez Motip, ma marque habituelle pour ce genre de produits.
Pourquoi du filler plutôt que du primer ? Parce qu’il est plus épais et permettra de reprendre les derniers petits défauts des nombreux masticages, et qu’en plus il est de couleur jaune pâle, ce qui convient à merveille aux deux teintes jaune et verte de la machine.
Ceci dit, il faut le charger bien brillant, car il aurait vite tendance, de par son épaisseur, à créer un sérieux « overspray » mat et granuleux.
J’ai commencé par fignoler le capot et par regraver les lignes perdues au collage, puis a suivi une séance de cachage, principalement au Maskol, des divers endroits où il y aura collage.
Les petites pièces ont été fixées sur des bouts de grappe pour une manipulation aisée.
Voilà la bestiole mise au primer :
Les détails commencent à ressortir :
Les défauts aussi, mais il y en a peu. Je suis content, car le plastique blanc, c’est vraiment la m… pour voir les petits détails.
Step 6 :
Mardi 08/07:
J’ai commencé cette soirée par la finition des pipes d’échappement du moteur.
Comme il s’agit d’un avion de course, on peut imaginer que le moteur était neuf et que les pipes d’échappement, bien chromées d’origine, étaient juste bleuies par la chaleur.
Sur les tubes peints en chromé au départ, une touche de doré bien liquide, directement suivi par une touche de rouge translucide puis par une touche de bleu translucide donne l’effet suivant :
Cool non?
J’ai ensuite procédé à un pré-ombrage léger entre les nervures de l’entoilage des ailes et des dérives :
Puis le jaune a été posé, en Humbrol, en même temps que des essais de vert ont été réalisés sur les mâts. Le plus attentifs remarqueront que j’ai décidé de peindre la déco jaune des pantalons de roues, plutôt que d’utiliser les décals fournies dans la boite:
La suite (et fin) demain.
Bons montages
Step 3 :
Lundi 30/06:
Petite soirée après le travail, juste pour dire que ça continue à avancer.
Pour représenter la couronne de base des fils d’allumage, j’ai simplement mis en forme un fil d’inox au bon diamètre, et j’ai posé l’anneau sur la base des cylindres. Cet anneau sera pincé entre les cylindres et les tiges de culbuteurs :
Ensuite, la couronne avec les tiges de culbuteurs a été collée en place, la longueur des tiges adaptée et la peinture de l’avant du moteur a été terminée. Il restera à peindre les tuyaux d’échappement à l’arrière. Le moteur restera « blinquant » car c’est un avion de records qui était entretenu à la perfection.
Pour terminer la soirée, j’ai reproduit les deux charnières d’ouverture des demi-cockpits.
J’ai simplement collé deux fils de sprue puis je les ai « saucissonnés » après avoir collé une bande cache, car j’avais remarqué sur mon FW-189B que le saucissonnage causait des petites marques sur les tôles adjacentes.
Step 4 :
Mardi 01/07 :
Soirée plus importante ce jour-là.
J’ai terminé le ponçage des pantalons de roues, et je les ai gravés car les lignes de tôles et les vis de fixation des capots de roues sont bien visibles en réalité :
Les jambes de train ont ensuite été collées à la cyano, puis le joint a été réalisé à la cyano épaisse pour éviter toute fissuration qui aurait pu se produire si j’avais mastiqué.
Après avoir soigneusement poncé les raccords des jambes de train, j’ai préparé les mâts des ailes. Sur celui de gauche, il manquait le tube Pitot, fort visible, que j’ai reproduit avec un bout de seringue serti à la cyano dans un trait de scie.
Je me suis ensuite penché sur la problématique de la fixation du capot moteur.
Il vient simplement se poser à serrage autour des cylindres.
Mais cette solution me satisfait très peu, car un collage sur la peinture du moteur ne tiendra pas et risque d’empâter les détails des culasses. J’ai donc imaginé autre chose. J’ai percé 4 trous à 90° autour du nez, à un endroit où rien ne gênera au niveau du moteur. Puis j’ai coupé deux tiges d’Evergreen rond, coupées à la longueur exacte du diamètre intérieur du capot, et je les ai collées en croix :
Maintenant, lorsque j’enfile le capot sur le moteur, il vient poser aussi sur le bout des tiges, et c’est à ces endroits que je le collerai. Les tiges sont peu visibles et le seront encore moins quand l’intérieur du capot sera peint en noir.
Etape suivante, la préparation des surfaces de profondeur. Elles se glissent dans les encoches du fuselage, ce qui a demandé un ajustement précis, car je ne les collerai en place qu’après peinture :
La jonction entre les plans et les gouvernes étant fortement gravée d’origine, il a suffit de plier le plastique pour représenter les gouvernes abaissées.
A part la finition du capot moteur, la bestiole est prête pour les opérations de peinture.
J’ai juste vérifié et percé aux endroits voulus les trous de passage des haubans, puis je me suis offert un petit montage à blanc pour le plaisir des yeux :
Step 5 :
Vendredi 04/07:
Après deux jours sans, j’ai pris le temps ce soirlà de poser le primer sur l’oiseau.
J’ai utilisé du filler automobile en spray de chez Motip, ma marque habituelle pour ce genre de produits.
Pourquoi du filler plutôt que du primer ? Parce qu’il est plus épais et permettra de reprendre les derniers petits défauts des nombreux masticages, et qu’en plus il est de couleur jaune pâle, ce qui convient à merveille aux deux teintes jaune et verte de la machine.
Ceci dit, il faut le charger bien brillant, car il aurait vite tendance, de par son épaisseur, à créer un sérieux « overspray » mat et granuleux.
J’ai commencé par fignoler le capot et par regraver les lignes perdues au collage, puis a suivi une séance de cachage, principalement au Maskol, des divers endroits où il y aura collage.
Les petites pièces ont été fixées sur des bouts de grappe pour une manipulation aisée.
Voilà la bestiole mise au primer :
Les détails commencent à ressortir :
Les défauts aussi, mais il y en a peu. Je suis content, car le plastique blanc, c’est vraiment la m… pour voir les petits détails.
Step 6 :
Mardi 08/07:
J’ai commencé cette soirée par la finition des pipes d’échappement du moteur.
Comme il s’agit d’un avion de course, on peut imaginer que le moteur était neuf et que les pipes d’échappement, bien chromées d’origine, étaient juste bleuies par la chaleur.
Sur les tubes peints en chromé au départ, une touche de doré bien liquide, directement suivi par une touche de rouge translucide puis par une touche de bleu translucide donne l’effet suivant :
Cool non?
J’ai ensuite procédé à un pré-ombrage léger entre les nervures de l’entoilage des ailes et des dérives :
Puis le jaune a été posé, en Humbrol, en même temps que des essais de vert ont été réalisés sur les mâts. Le plus attentifs remarqueront que j’ai décidé de peindre la déco jaune des pantalons de roues, plutôt que d’utiliser les décals fournies dans la boite:
La suite (et fin) demain.
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Re: Laird Super Solution Williams 1/32
Superbe avion! Il y avait vraiment de chouette engin de course!!
Ton moteur est top, et l'idée des pipes est très pertinente.
Poste vite la suite please!
Ton moteur est top, et l'idée des pipes est très pertinente.
Poste vite la suite please!
naimbs- "Big Moustaches"
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Re: Laird Super Solution Williams 1/32
Merci Arnaud, voici la suite et la fin de ce montage:
Step 7 :
Samedi 12/07:
Je n’ai pas eu le temps de toucher à l’avion depuis mardi, mais c’est tant mieux car la peinture jaune aura eu le temps de bien sécher.
L’étape du jour (pour parler comme sur le tour de France, c’est d’actualité !) a commencé par le masquage des ailes et de la déco des pantalons de roues :
Puis le vert brillant Humbrol a été appliqué sur le fuselage:
J’ai commencé la pose des decals avec celle de l’aile supérieure:
Etant bloqué en attendant le séchage de la peinture du fuselage, je me suis occupé de l’hélice.
Le moyeu avait été préalablement peint en alu, puis les pales ont été frottées au Rub’n Buff alu. Les pointes ont ensuite reçu une couche de rouge orangé sur leur face externe :
L’effet blinquant va bien s’accorder avec le reste de la machine:
Step 8 :
Dimanche 13/07:
Aujourd’hui, pose des decals.
J’ai bien fait de ne pas utiliser celles prévues pour les pantalons de roues, car on voit avec les 400 jaunes que les décals ne sont pas tout à fait assez opaques et laissent un peu transparaître le vert. Tant pis pour les 400, je ne recommence pas, y’a un Nieuport 24 qui piaffe dans sa boite…. !!!!
Par contre félicitation pour la finesse et la solidité de ces décals. Je rêve d’en avoir des pareilles à chaque montage !
J’ai ensuite posé le vernis. C’est du Humbrol Clear Cote. Je le conseille vivement, car il est bien translucide et se tend très bien. Mais il m’a fallu pas moins de 25ml de vernis dilué pour réussir à rendre le jaune brillant ! C’est pas compliqué, le jaune a reçu 12 couches de vernis, et le vert 5 !!! Mais là ça blinque !!!! On ne voit même plus l’épaisseur des décals…..
Je pense que 5 ou 6 jours de séchage seront les bienvenus avant de poser l’aile supérieure et d’attaquer le haubannage….
Step 9 :
Mardi 22/07:
Après 9 jours de séchage des 12 couches de vernis, étant bloqué quelques heures sur le Nieuport pour cause de séchage du primer, j’ai donné un grand coup sur le Laird.
Première étape, enlever tout le Maskol qui avait été posé aux endroits de collage et dans tous les trous d’haubanage :
Au niveau des ailes, je n’avais rien prévu pour ménager des zones de collage, et j’ai donc gratté la peinture, en utilisant une règle et une nouvelle lame, aux quatre endroits ou les mâts vont venir se coller :
Ensuite j’ai collé les quatre premiers câbles, entre le dessus du fuselage et le pied des mâts sur l’aile inférieure.
Pour le câble, ma compagne m'a trouvé du fil nylon vendu pour la confection de colliers de perles.
Le diamètre est bon pour du 1/32, et j’ai vérifié, il se tend bien à la chaleur du sèche-cheveux.
L’aile supérieure et les mâts ont ensuite été collés en place à la cyano plastique:
Puis j’ai posé les haubans. J’ai fait un ou deux petits pâtés de cyano, mais rien de méchant. J’essayerai de faire mieux avec le Nieuport.
Ce n’est pas difficile, au contraire, c’est juste qu’il ne faut pas avoir la tremblote et que plus on avance, moins on a d’endroits pour manipuler l’avion….
Les fils ont ensuite été peints en argenté Humbrol 11, ainsi que les petits détails (rails de verrière, patin arrière), qui demandaient la même teinte.
J’ai ensuite collé le moteur à sa place :
Puis j’ai testé encore une fois la mise en place du capot. Il n’y aura même pas besoin de le coller, il tient à serrage entre mes quatre tiges et les couvre-culasses du moteur :
L’intérieur du capot a ensuite été peint en alu.
J’espère terminer demain les retouches de vert et de jaune et la pose de l’hélice.
Bons montages !
Step 10 :
Mercredi 23/07 :
Dernière ligne droite : J’ai commencé par passer un coup de Coumpound Tamiya aux endroits où mes gros doigts avaient laissé des traces ! J’ai l’impression que le vernis pourra encore durcir un peu, et depuis hier je travaille avec des gants en latex pour éviter les empreintes.
Ensuite, j’ai effectué les petites retouches de jaune et de vert aux endroits de raccords des haubans.
Dernière étape, pose du capot et de l’hélice.
Ni l’un ni l’autre ne sont collés. Le capot tient à serrage et l’hélices à laquelle j’ai greffé un arbre de 1 cm est engagée dans le moyeu du moteur.
IL EST FINI !!!! Yeaahhhhh !!!!
Voici les premières photos :
Le petit dio est en cours de réalisation (un simple parking en béton avec un coin d’herbe).
Les photos en extérieur viendront demain.
Pour résumer ce montage, je n’ai qu’un seul mot : le pied !!!
D’abord parce que c’est mon premier « from the box », mon premier avion civil, mon premier avec des haubans, mon premier 1/32, mon premier Williams… !!!!
Ensuite parce qu’il n’y a pas vraiment eu de gros piège dans la maquette (à part les pantalons de roue, mais j’aurais pu les laisser d’origine en utilisant les roues en plastique), ni de problème dans la réalisation.
Une chose est sûre, je viens d’ajouter une rubrique à mes sujets de prédilection : les avions de course des années 30. Dès que je trouve un autre Williams, certain, j’achète !
Bons montages !
Step 7 :
Samedi 12/07:
Je n’ai pas eu le temps de toucher à l’avion depuis mardi, mais c’est tant mieux car la peinture jaune aura eu le temps de bien sécher.
L’étape du jour (pour parler comme sur le tour de France, c’est d’actualité !) a commencé par le masquage des ailes et de la déco des pantalons de roues :
Puis le vert brillant Humbrol a été appliqué sur le fuselage:
J’ai commencé la pose des decals avec celle de l’aile supérieure:
Etant bloqué en attendant le séchage de la peinture du fuselage, je me suis occupé de l’hélice.
Le moyeu avait été préalablement peint en alu, puis les pales ont été frottées au Rub’n Buff alu. Les pointes ont ensuite reçu une couche de rouge orangé sur leur face externe :
L’effet blinquant va bien s’accorder avec le reste de la machine:
Step 8 :
Dimanche 13/07:
Aujourd’hui, pose des decals.
J’ai bien fait de ne pas utiliser celles prévues pour les pantalons de roues, car on voit avec les 400 jaunes que les décals ne sont pas tout à fait assez opaques et laissent un peu transparaître le vert. Tant pis pour les 400, je ne recommence pas, y’a un Nieuport 24 qui piaffe dans sa boite…. !!!!
Par contre félicitation pour la finesse et la solidité de ces décals. Je rêve d’en avoir des pareilles à chaque montage !
J’ai ensuite posé le vernis. C’est du Humbrol Clear Cote. Je le conseille vivement, car il est bien translucide et se tend très bien. Mais il m’a fallu pas moins de 25ml de vernis dilué pour réussir à rendre le jaune brillant ! C’est pas compliqué, le jaune a reçu 12 couches de vernis, et le vert 5 !!! Mais là ça blinque !!!! On ne voit même plus l’épaisseur des décals…..
Je pense que 5 ou 6 jours de séchage seront les bienvenus avant de poser l’aile supérieure et d’attaquer le haubannage….
Step 9 :
Mardi 22/07:
Après 9 jours de séchage des 12 couches de vernis, étant bloqué quelques heures sur le Nieuport pour cause de séchage du primer, j’ai donné un grand coup sur le Laird.
Première étape, enlever tout le Maskol qui avait été posé aux endroits de collage et dans tous les trous d’haubanage :
Au niveau des ailes, je n’avais rien prévu pour ménager des zones de collage, et j’ai donc gratté la peinture, en utilisant une règle et une nouvelle lame, aux quatre endroits ou les mâts vont venir se coller :
Ensuite j’ai collé les quatre premiers câbles, entre le dessus du fuselage et le pied des mâts sur l’aile inférieure.
Pour le câble, ma compagne m'a trouvé du fil nylon vendu pour la confection de colliers de perles.
Le diamètre est bon pour du 1/32, et j’ai vérifié, il se tend bien à la chaleur du sèche-cheveux.
L’aile supérieure et les mâts ont ensuite été collés en place à la cyano plastique:
Puis j’ai posé les haubans. J’ai fait un ou deux petits pâtés de cyano, mais rien de méchant. J’essayerai de faire mieux avec le Nieuport.
Ce n’est pas difficile, au contraire, c’est juste qu’il ne faut pas avoir la tremblote et que plus on avance, moins on a d’endroits pour manipuler l’avion….
Les fils ont ensuite été peints en argenté Humbrol 11, ainsi que les petits détails (rails de verrière, patin arrière), qui demandaient la même teinte.
J’ai ensuite collé le moteur à sa place :
Puis j’ai testé encore une fois la mise en place du capot. Il n’y aura même pas besoin de le coller, il tient à serrage entre mes quatre tiges et les couvre-culasses du moteur :
L’intérieur du capot a ensuite été peint en alu.
J’espère terminer demain les retouches de vert et de jaune et la pose de l’hélice.
Bons montages !
Step 10 :
Mercredi 23/07 :
Dernière ligne droite : J’ai commencé par passer un coup de Coumpound Tamiya aux endroits où mes gros doigts avaient laissé des traces ! J’ai l’impression que le vernis pourra encore durcir un peu, et depuis hier je travaille avec des gants en latex pour éviter les empreintes.
Ensuite, j’ai effectué les petites retouches de jaune et de vert aux endroits de raccords des haubans.
Dernière étape, pose du capot et de l’hélice.
Ni l’un ni l’autre ne sont collés. Le capot tient à serrage et l’hélices à laquelle j’ai greffé un arbre de 1 cm est engagée dans le moyeu du moteur.
IL EST FINI !!!! Yeaahhhhh !!!!
Voici les premières photos :
Le petit dio est en cours de réalisation (un simple parking en béton avec un coin d’herbe).
Les photos en extérieur viendront demain.
Pour résumer ce montage, je n’ai qu’un seul mot : le pied !!!
D’abord parce que c’est mon premier « from the box », mon premier avion civil, mon premier avec des haubans, mon premier 1/32, mon premier Williams… !!!!
Ensuite parce qu’il n’y a pas vraiment eu de gros piège dans la maquette (à part les pantalons de roue, mais j’aurais pu les laisser d’origine en utilisant les roues en plastique), ni de problème dans la réalisation.
Une chose est sûre, je viens d’ajouter une rubrique à mes sujets de prédilection : les avions de course des années 30. Dès que je trouve un autre Williams, certain, j’achète !
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Re: Laird Super Solution Williams 1/32
Décidément, le jaune des numéros 400 me blessait les yeux chaque fois que je regardais la maquette. J'ai donc corrigé, en utilisant du film transparent comme on utilise pour recouvrir les cahiers d'écoliers pour découper un masque directement sur l'avion:
Les photos du modèle terminé sont ici
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Re: Laird Super Solution Williams 1/32
Bonjour Buffalo,
Époustouflant de précision et... de patience.
Bravo !
Jicéhem
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Re: Laird Super Solution Williams 1/32
Superbe réalisation :affraid: :drunken: ,Merci pour le tuto
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Re: Laird Super Solution Williams 1/32
Merci les gars, c'est vraiment bien le maquettisme quand tout le monde y trouve du plaisir!
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