[Italeri] 1/72 - JUNKERS Ju 52/3mg4e du Sanitätsflugbereitschaft 11 - (ju52)

Bonjour à tous,


J’avais depuis longtemps envie de refaire le Junkers Ju 52 en maquette, l’ayant fait durant ma tendre jeunesse, en version « see » (hydravion) et en version transport, suivant les versions fournies par Airfix.

Je me suis donc lancé dans la construction d’une version sanitaire qui pouvait être intégrée dans ma collection de la Bataille d’Angleterre.

Je n’ai pu trouver le Junkers Ju 52 sanitaire fabriqué par Italeri en 1977 et je me suis donc rabattu sur un modèle « see » que je savais avoir malgré tout toutes les pièces standard du Ju 52 de transport terrestre, à part celles spécifiques de la version sanitaire. Un ami m’ayant donné ces pièces spécifiques du Ju 52 sanitaire (civières, brancardiers, coffre sanitaire), je pus donc entreprendre de faire la version désirée.


La Bataille d’Angleterre qui se déroula de juillet 1940 à octobre 1940 pour la partie diurne fut une guerre aérienne qui entraîna malheureusement nombre de morts et de blessés, notamment dans les rangs de la Luftwaffe. Les blessés furent souvent transportés par des Junkers Ju 52 transformés en avions sanitaires les récupérant pour les transférer dans les hôpitaux à l’arrière.

J’avais fait depuis plusieurs années de longues recherches historiques dans ma documentation personnelle, puis sur Internet, en plusieurs langues, pour glaner le maximum de données précises et historiques sur les Junkers Ju 52 standard et sanitaires souvent surnommés « SanJu ». J’avais acheté 2 livres en allemand spécialisés sur la recherche en mer et sur le transport aérien dont j’ai traduit les parties intéressant les années 1940 et 1941.

j’ai acquis par ailleurs 2 pochettes de décals de la marque « Peddinghaus ». La 2ème fut nécessaire, compte tenu de l’absence de codes d’identification pour le dessous des ailes dans une même pochette.




Enfin, j’ai recherché et acheté sur AliExpress une pochette « Olivia Model Store » A6013 avec au 1/72 du personnel sanitaire allemand des années 1940 , en sus de récupérations diverses de blessés allongés, pour occuper tout ou partie des huit civières des Junkers 52 sanitaires de 1940.


En juillet 1940, il y a encore peu d’avions sanitaires dans la Luftwaffe. Ils sont regroupés dans 2 groupes nommés « Sanitätsflugbereitschaft ». La version désirée est celle d’un des 3 Ju 52 codés « D-TABW », « D-TABX » et « D-TABY » en livrée blanche et noire du Sanitätsflugbereitschaft 11.

J’ai longtemps hésité entre le D-TABY et le D-TABW avant de me décider à faire le D-TABW au moment de la pose des décals, les trois SanJu ayant presque la même décoration à part la largeur des bandes noires apparues vers la mi-1940, mais aussi quasiment le même historique jusqu’à fin 1941.


J’ai choisi le D-TABW, moins connu que les 2 autres, mais plus sûr au niveau déco de juillet 1940, avec un plus long historique et une fin peut-être moins dramatique que les D-TABX et D-TABY disparus le premier en 1942 et le second en 1943.


Le Junkers 52 sanitaire D-TABW reçut début 1939 le Wnr 6644 à sa sortie d’usine et le code de fuselage CA+JL.

Comme ses deux futurs confrères, le CA+JL fut transformé en unité sanitaire et devint le D-TABW dont le code indiquait un usage « civil » avec la swastika de dérive des autorités gouvernementales, en tant que moyen de transport sanitaire régi par les conventions de Genève. Il intégra le « Sanitätsflugbereitschaft 11 » durant l’été 1939.

Après la campagne de Pologne en septembre 1939, il suivit ses deux compères durant l’hiver 1939-1940 chez le Seenotdienst (service gouvrnemental de sauvetage en mer).
L’hiver très rigoureux de 1939-1940 entraîna le gel de la mer des Wadden, autour des îles allemandes de la Frise, au Nord de l’Allemagne. Le « Seenotdienst » (sauvetage en mer) qui s’occupait de la surveillance maritime de la zone ne pouvait plus le faire avec ses hydravions.
Les trois Junkers JU 52 D-TABx furent envoyés un à un entre la fin décembre 1939 et fin janvier 1940 pour sécuriser les opérations navales de surveillance et les missions de recherches et de sauvetage en mer pour, si nécessaire, jeter des canots de sauvetage aux naufragés.
La crise des glaces dans les îles de la Frise orientale devint rapidement critique pour la population locale. La fourniture supplémentaire de nourriture, de carburant et d'autres choses vitales était devenue impossible sur l'eau gelée. le « 1.Seenotflugkommando Norderney » a alors mis en place en plus pour les D-TABx un service d'urgence sur glace pour approvisionner les insulaires. Il y eut 214 vols aller-retour par les D-TABx. 1284 passagers et 108629 kg de fret furent transportés, en sus du courrier postal, entre le continent et les îles de la Frise.

Les 3 D-TABx chez le Seenotdienst à Norderney en mars 1940. (image du livre « Rettung Zwischen den Fronten – Seenotdienst 1939-1945 » de Karl Born) .


A la fin du mois de février 1940, la période très hivernale s'acheva et à partir du 27 février 1940, les hydravions Heinkel 59 du Seenotdienst purent à nouveau oeuvrer. Le 16 mars 1940, les 3 JU 52 furent renvoyés au Sanitätsflugbereitschaft 11.


De mi-mars 1940 à décembre 1941, il fut présent à nouveau au « Sanitätsflugbereitschaft 11 » et a participé aux campagnes de l’Ouest.

Le D-TABW le 13 juin 1940 à La Selve durant la campagne de France (Image du livre de Viktor Harsch « Sanitätsflugbereitschaften der Luftwaffe (1939-1945))


A l’été 1940, il était présent dans la Luftflotte 3 qui basée en France, Belgique et Pays-Bas participait à la Bataille d’Angleterre. Il est resté en opérations surtout dans ce secteur de l’Europe durant tout 1941.

C’est cependant durant cette période qu’il s'écrasa en raison du mauvais temps à Pipera (Roumanie) le 13-03-1941 lors d’une mission spéciale pour le L.N. Regt 32 (Luftnachrichten-Abteilung 32 = Département du renseignement aérien 32), mais fut réparé, puisqu’on le retrouva ensuite en Russie.


De janvier à mars 1942, il fut lui aussi, comme le D-TABY, présent au Sanitätsflugbereitschaft 3 basé à Gorodischtsche (Oblast de Volvograd en Russie).

C’est sans doute à ce moment-là que le code du D-TABW est devenu TA+BW quand il a rejoint cette unité sanitaire « Sanitätsflugbereitschaft 3 » en 1942 et qu’il a dû acquérir sa livrée verte.

En juin 1942, il semblait être à poste à l’aéroport de Varsovie-Okecie, prêt à intervenir sur toute demande téléphonique de l’armée allemande.

En août 1942, le TA+BW fut utilisé par le K.Gr.z.b.V 500 qui était basé à Psokv, en Russie, non loin de l’Estonie.

Le 12 mars 1944, il est mentionné à nouveau présent à sa veille dans la cellule de secours de Varsovie-Okecie.

Il n’y a plus d’autre donnée ensuite et l’historique final semble inconnu. Varsovie ayant été prise par les russes fin janvier 1945, l’ex-D-TABW a du sans doute disparaître dans le tourmente à cette époque, sur place ou peu de temps après quelque part en Allemagne…


Côté maquette, tout au long, la construction est aussi très mouvementée car, si le Junkers 52 Italeri a la mérite d’exister et est trouvable en de nombreuses versions, on découvre peu à peu les problématiques de la maquette qui, si on veut la faire la plus historique possible, demande beaucoup de transformations…
Le même moule et un grand nombre de pièces se retrouvent dans toutes les versions du Ju 52 Italeri, alors que bien souvent celles-ci, en fonction de leur utilisation et de leur période d’activité, ont eu des pièces spécifiques, au niveau des trains d’atterrissage, des capots de moteurs, des trappes d’ouvertures du fuselage, ect…

Les nombreuses transformations ont été détaillées dans le sujet « JUNKERS Ju 52_ 3mg4e du Sanitätsflugbereitschaft 11 1_72 (ju52) » du forum des « montages en cours », dans la subdivision « les ateliers militaires », et accessible au lien :
https://fighters.forumactif.com/t102095-italeri-junkers-ju-52-3mg4e-du-sanitatsflugbereitschaft-11-1-72-ju52


Les principales transformations concernent déjà tout l’intérieur et ces transformations sont variables suivent la version faite, mais le montage interne d’Italeri est très spartiate et même faux concernant par exemple la porte (8a) séparant la cabine de pilotage et le compartiment du radio. Elle doit normalement être constituée de 2 battants plus hauts, avec une fenêtre incluse..



Ces omissions et erreurs sont d’autant plus pénalisantes quand on veut aménager l’intérieur du fuselage qui avec un peu d’astuce peut être accessible à tout moment, même la maquette finie.
La cloison déjà mentionnée est en plus coupée en deux, la partie supérieure ayant été faite solidaire au toit par le fabriquant de la maquette.

Rien n’est prévu non plus au niveau des compartiments arrière hors version armée et l’aspect tôle ondulée des parois interne est totalement absent.

Les barres standard de soutien de matériel fixées contre les parois du compartiment central sont absentes.
L’aménagement sanitaire lui-même ne semble pas respecter réellement les emplacements précis des 8 civières dans le fuselage des D-TABx, et tout serait à modifier pour les versions ultérieures à 10 et 12 civières .

Si au départ, je ne comptais aménager que la cabine de pilotage et le compartiment central avec ses civières, j’ai constaté qu’une fois ceux-ci faits, il restait un trou béant inesthétique à l’arrière que je me suis donc décidé à combler.


L’aménagement a pris du temps et a été fait tout en scratch, avec les tôlages de parois internes tracés à la pointe d’un tournevis et les différents composants internes créés.

Aménagement de la cloison Pilotes / Radio :



La cloison pilotes/radio vue du côté Radio :



Les barres de soutien de matériel, les plaques d’isolation, les civières supérieures et leurs blessés :



Les civières basses, le poste radio, la cabine de pilotage, un coffre sanitaire, un colis à livrer :



Les passagers, l’infirmier, sa trousse médicale (sous le blessé assis) et les membres d’équipage du SanJu :



Ebauche en scratch des cloisons arrière du SanJu :



Encours d’éléments des compartiments et coffrage arrière du fuselage :



Les compartiments arrière avec de droite à gauche le compartiment des blessés et infirmier assis, puis le WC et la poubelle à déchets médicaux, la zone de stokage des canisters d’eau et du matériel médical et enfin l’arrière inhabité avec les structures internes du fuselage :



L’intérieur complet et finalisé du fuselage :



D’aucun pourrait dire : A quoi cela peut servir de faire un tel intérieur invisible une fois le fuselage refermé ?
Réponse : A ne pas être invisible, mais au contraire à être bien visible, car les 3 Ju 52 au 1/72 Italeri, Heller et Airfix ayant tous la partie supérieure du fuselage formant un toit qui peut ne pas être collé si on utilise une astuce qui est d’installer face à face des aimants entre haut du fuselage et toit.

Ces aimants qui permettront de tenir le toit quelque soit l’inclinaison de la maquette sont visibles côté fuselage sur l’image ci-dessus, sur le sommet de la cloison Pilotes/radio et sur le dernier arceau à l’arrière.
Ceux du toit s’y fixent quand on pose le toit sur le fuselage.
Il faut bien sûr procéder à un ajustement précis de la jonction entre toit et fuselage, des deux côtés du fuselage, une fois les aimants posés.


C’est ainsi presque fini pour le fuselage, hormis pour l’aspect externe du toit qui comporte deux ouvertures (trappe de toit et ouverture du poste de mitrailleur) qui n’existent pas dans la version des D-TABx.
La trappe de toit est simplement dessinée sur le toit, tandis que l'ouverture de la trappe du mitrailleur est présentée ouverte sur la maquette et est donc à obturer avec une plaque fournie sur les grappes standard des Ju 52 Italeri.

Le problème est qu’il y a absence de rainure autour de ces trappes et l’alignement des ondulations des 2 trappes ne correspondent pas tout à fait à celles du toit du fuselage.
A l’aide de body-putty et du dos d’une lame de cutter, après plusieurs tests pour trouver une solution visant à colmater l’absence d’ondulations autour des trappes et plusieurs couches de peinture, le toit retrouve des ondulations presque continues, rendant presque invisibles les anciens pourtours de trappes.
Italeri semble n’avoir fourni un toit plein ondulé que pour la version suisse moderne du Junkers Ju 52.

Quelques détails mineurs sont ensuite à traiter sur l’avant et le toit du fuselage. On en voit la majorité sur l’image ci-dessous, à part les sangles d’attaches des futurs pots d’échappement du moteur central et les refroidisseurs d’huile à modifier sous l'avant du moteur central :



On s’attaque ensuite aux éléments extérieurs au fuselage.

Le montage des éléments extérieurs au fuselage n’est pas de tout repos et on s’en rend compte au fur et à mesure des travaux…

Il faut peindre au préalable le fuselage en masquant les vitres et en faisant les arrondis noirs de l’avant et les bandes noires des ailes. La détermination des arrondis noirs de l’avant et les bandes des ailes et ailerons à peindre en noir sont à faire d’après des images de l’époque.

Le cockpit n’est pas transparent sur l’arrière et il faut donc peindre en blanc une partie à bien déterminer d’après des images de l’époque.

La dérive est légèrement tordue et il faut donc la redresser au « forceps »…


On quitte le fuselage et l’on passe aux ailes

L’aile gauche a un mauvais dièdre, vu qu’au collage. Il faut donc corriger le défaut par inclusion de matière et d’un profilé entre le fuselage et l’aile.


Bref ! Après tout cela, on découvre les problèmes des moteurs et des nacelles de moteurs d’ailes trop longues et trop minces rendant assez affreux le Ju 52 une fois les moteurs montés…
Les plans Italeri de la version « see » sont faux et amènent aussi à percer les capots de moteurs pour les pots d’échappement aux mauvais endroits…

De plus, le montage Italeri ne permet pas de décentrer les capots des moteurs sur leur arrière en les obliquant vers l’extérieur pour toucher le bord des nacelles donnant vers le fuselage.
Les images des hivers de la seconde guerre avec des enfilades de Junkers 52 montrent qu’ils ont tous un passage interne arrière pour les tubes des pots d’échappement vers le côté extérieur des capots de moteurs.

Pour corriger ces deux problèmes majeurs d’aspect, j’ai fini par raccourcir les nacelles, par supprimer les tubes internes d’échappement des moteurs d’ailes, par coller l’embout des pots d’échappement sur une plaque interne au capot et surtout par modifier le système d’attache des moteurs et hélices aux nacelles.

J’ai obturé les trous béants des nacelles avec des obturateurs percés presque au centre, mais un peu décalés vers l’extérieur pour permettre à l’arriére des capots de moteurs de toucher le côté des nacelles jouxtant le fuselage. J’ai fabriqué aussi des caches pour obturer l’arrière des moteurs d’ailes dépourvus normalement de toute lumière passant au travers des moteurs. J’ai collé des tubes creux enrobant extérieurement les « vis » de fixation des hélices derrière le moteur, ces tubes devant s’enfiler dans les trous des obturateurs des nacelles pour fixer l’ensemble capots + moteurs aux nacelles.

Par ailleurs, j’ai entouré les nacelles d’un coffrage que j’ai rempli de body-putty puis j’ai resculpté ce coffrage aux formes réelles des nacelles, donc un peu plus joufflues.

Les images ci-dessous montrent les transformations faites :




….puis le travail presque achevé :



….et enfin le collage définitif des capots et moteurs sur les nacelles des ailes :



Pour terminer avec les moteurs, il faut pour les Junkers Ju 52 de 1940 enlever un des 3 refroidisseurs d’huile de l’avant et placer les 2 restants écartés comme ceux des nacelles d’ailes.

Il faut aussi faire des attaches près de l’embout des pots d’échappement du moteur central.

Il faut enfin mettre des tiges de support interne des capots de moteurs d’ailes, visibles de l’arrière des capots.


Place maintenant aux problèmes des trains d’atterrissage !

Italeri a fait des grappes sur lesquelles des pièces standard apparaissent dans toutes les versions terrestres produites ou en surplus inutiles des flotteurs maritimes produites, dont les trains d’atterrissage.

Hors ceux-ci sont des trains aux jambes épaisses semblables à celles des versions civiles commerciales des Junkers Ju52 de pré-guerre. Les Junkers 52 militaires ont quant à eux des trains beaucoup plus fins !

On est donc obligé de passer des heures à amincir les pièces existantes, ce qui peut être beaucoup plus difficile encore si les roues ont déjà été collées aux trains d’atterrissage...


Ce livre cité ci-dessus est une grande source d’images de l’époque sur les constituants du Junkers Ju 52

Une fois la cure d’amaigrissement des jambes de trains faite, il faut bien placer les jambes externes dans l’alignement de la fixation des renforts arrière des trains d’atterrissage.

Il faudra probablement aussi diminuer un peu la longueur de la jambe interne pour permettre la bonne inclinaison des roues,  donc couper les ergots de la pièce de maquette et les recréer juste en dessous sur les jambes internes. Cela permet de redresser un peu les jambes externes, d’incliner un peu plus les roues et de diminuer un petit peu la hauteur du train.

Voici ci-dessous le travail terminé, avec les trains d’atterrissage amincis collés, après peinture d’un carré noir au niveau de l’attache de la jambe externe Avant qui normalement rentre dans la tôle avant sa fixation au corps du Junkers :




Enfin, pour finir, la pose des décals donne du fil à retordre avec le relief ondulé des surfaces du Junkers 52 et avec les décals Peddinghaus des D-TABx, dont une 2ème pochette est nécessaire pour avoir des codes pour le dessus des ailes et une 2ème swastika spéciale de dérive, compte tenu de l’inversion d’une des 2 swastikas fournies dans chaque pochette.

Ayant utilisé de la peinture satinée et non mate pour cette maquette blanche, j’ai pu, après divers tests, faire épouser aux décals les contours des ondulations des surfaces du Junkers 52 en utilisant du Decalfix Revell, en sous-couche puis sur les décals posés dans un premier temps, avant de repasser doucement dans chaque rainure de zone à décals le dos du tranchant d’un cutter pour aider les décals à bien se lover dans les rainures.

Cette dernière opération répétée ensuite, juste avant de passer du vernis satiné sur les décals brillants détourés au maximum, a permis d’obtenir une bonne fixation des décals, heureusement non cassants et finalement assez souples, bien qu’un peu épais.


Entre les recherches diverses et les nombreux travaux effectués sur cette maquette, des centaines d’heures ont été nécessaires, mais le résultat en valait bien la peine.



Voici ci-dessous en première partie diverses images de la maquette terminée :














Ensuite et pour finir, j’ai fait une petite série d’autres vues le montrant sous d’autres angles et lui donnant vie dans des environnements approchant la réalité, grâce à divers trucages simples (élimination de support et de pales d’hélices fixes, fonds d’écran de PC et de dioramas).


C’est ainsi que l’on peut imaginer une des missions du Junkers Ju 52 D-TABW vers un hôpital de campagne 

Décollage d’un SanJu pour un aérodrome d’hôpital de campagne



En vol, de passage au dessus d’une ville de France



Approche par le Junkers Ju 52 de la destination



Escale sur l’aérodrome de campagne, à proximité des tentes sanitaires



En attente du ravitaillement en Kérosène et du chargement des blessés



Bientôt paré à redécoller



Redécollage du Junkers sanitaire



Retour vers le Lazarett avec les blessés



Fin de mission du Junkers Ju 52 sanitaire…. et de ce sujet !!



Ce sujet a fait suite à celui du forum des « montages en cours », plus complet au niveau des problèmes rencontrés et des explications de montage des Junkers Ju 52 au 1/72ème, des images d’époque, de l’Historique et de plans internes du Junkers Ju 52 sanitaires.

Ces éléments sont détaillés dans le sujet « JUNKERS Ju 52_ 3mg4e du Sanitätsflugbereitschaft 11 1_72 (ju52) » du forum des « montages en cours », dans la subdivision « les ateliers militaires » et accessible au lien :
https://fighters.forumactif.com/t102095-italeri-junkers-ju-52-3mg4e-du-sanitatsflugbereitschaft-11-1-72-ju52

Bon courage aux futurs constructeurs de cet avion très célèbre, toujours actif dans les meetings aériens !

Une splendeur!

Un montage mémorable et qui s’est révélé payant à la vue du résultat. Une œuvre qui a toute sa place dans le kaléidoscope compte tenu des renseignements fournis.

Salut Gérard,
Magnifique montage et superbes photos. Celles en vol sont bluffantes. Il t' en aura fallu de la patience pour mener ce projet à terme.

Très belle réalisation et les photos sont tops, bravo.

Bonjour,

Avant toute chose : Magnifique réalisation, superbe maquette, bref une SPLENDEUR ! ! !

Encore un sujet que j'ai suivi en sous-marin en attendant à chaque fois la suite avec impatience car de A à Z ton montage est un must toutes catégories confondues. Documentation, chapeau l'ami, montage et modifications rien que ça cela vaut le détour, quand à la déco... Je n'en dirai pas plus tu t'en es tiré avec maestria... J'oublie l'originalité du sujet et de la présentation...

Bon maintenant la seconde claque : Ce n'est pas qu'une vitrine mais un véritable résumé de ton travail agrémenté de superbes photos. C'est à présenter sous forme de livret quand tu exposeras ta maquette.

Franchement tu peux être trés fier de ton travail. Toutes mes félicitations pour ta trés belle maquette.

Cordialement.

Patrick.

UN GRAND pour vos appréciations très positives qui récompensent du travail fourni !

Ok pour le mettre dans le Kaléidoscope. Cela a de l'intérêt pour les nombreux renseignements, plans et données que j'ai pu inclure dans les deux sujets Fighters et qui peuvent donc servir pour des futurs montages.

Pour le montrer en exposition, il faudrait que je m'aménage une boîte de transport, pour le Ju 52 et d'autres maquettes. Je réfléchirai à cela.

Ce n'est pas simple de faire une présentation de la fabrication d'une maquette pour une expo, car la plupart des visiteurs ne liraient pas plus d'une à deux pages sur place et le support devrait être fixe pour être lu par plusieurs personnes en même temps. Une description historique courte comme pour les pièces en vitrine des musées serait sans doute la meilleure solution avec éventuellement un lien du web pour plus de données accessibles, si désiré.

Les maquettes exposées sont presque toujours belles, mais elles sont souvent anonymes, sans histoire, même dans les vitrines personnelles, ce qui est dommage, mais ce n'est pas toujours simple à faire... Les miennes sont installées avec des fonds et des sols de dioramas. L'aspect général pourrait être gâché par la présence de moulte étiquettes...

Bonjour,

quelle belle représentation.
Le travail fourni est éblouissant.
Bravo.
Fil.

Bonsoir Fil WW2,

pour ta très bonne appréciation de ma maquette !

A+

Vraiment superbe, montage passionnant à suivre, très documenté et de très belles améliorations voir même une recréation du JU-52.
Splendide !

MERCI Tomcat 68 pour ton avis bien positif !

Je suis content que le sujet ait plu et qu'il puisse servir pour d'autres constructions.
Je viens de le mettre sur le Kaleidoscope.

A+

Bonjour,
Salut Gérard,
Un montage mémorable,du super boulot, bravo

Bonsoir Thierry,

pour ton avis positif final !

Tu as eu une bonne idée de me demander de faire ce sujet sur le Ju 52, car ce fut sympa à gérer

A bientôt pour d'autres aventures notamment pour suivre ton futur Junkers Ju 52  

Magnifique montage que j'ai eu plaisir à suivre bravo

Bravo. cette oie de fer, mérite le respect;..

Bonsoir Yan et Foxjuliet,

pour vos ressentis positifs pour mon SanJu !

Bon WE à tous

Splendides apports dans ce Ju52 ambulance, travail de précision au TOP, toutes mes félicitations.

Rain'

pour les très bons compliments Olivier !

extraordinaire bijou ! ton travail de l'intérieur est remarquable !!!

Merci Bernard pour ton avis positif sur mon SanJu dont l'aménagement intérieur, sa construction difficile et la reproduction historique au mieux ont effectivement permis au bout de plus de 300 heures d'obtenir une maquette un peu exceptionnelle qui est en bonne place dans ma vitrine !

Bonne suite dans tes oeuvres maquettistes !