BOEING P26A « Peashooter » [Academy] 1/48

Hello les plasticodévoreurs,

J'ai toujours eu de la sympathie pour ce petit avion et ses décos en technicolor, dommage qu'un fabricant n'ait pas l'idée ahurissante et outrecuidante de commettre une jolie maquette de ce sympathique avion, ça changerait... mais bon pas vendeur.

La maquette est sortie en 1994 et est la seule représentation de cet avion important dans l'histoire de l’aéronautique militaire US, avec son grand frère au 1/32 commis par Hasegawa en 1981. Le 1/72 n'est pas oublié et est même mieux fournis avec les marques Revell, AZ model et Pavla.



De l''HISTOIRE, vite fait pour situer:

Rompant avec la tradition bien définie des appels d'offres de l'US Army qui généralement mettaient en production deux constructeurs pour un même type d'avion (Curtiss P6 et Boeing P12 par exemple), le Boeing P26 sera le premier avion construit aux Etats-Unis à partir d'une initiative privée avec le soutien logistique et financier de la division du matériel de Wright Field. Les années 20/30 furent une période de grandes innovations dans l'aéronautique civile qui s'était lancée dans une compétition acharnée pour le transport aérien de courriers,  puis de passagers. Il fallait toujours faire mieux que la concurrence, plus vite, plus loin, plus de charges... La première guerre mondiale qui fut finalement la première utilisation massive de l'aviation aura été un booster dans le développement de celle-ci. Les motoristes travaillaient sur la puissance des moteurs qui permettrait aux aérodynamiciens de nouvelles possibilités dans l'exploitation d'innovation majeure comme l'aile cantilever, le raccord Karman, les volets Handley Page, le train rétractable inventé par la société Dayton Wright...
Paradoxalement, là où on s'attendrait à l'intégration rapide des innovations par l'armée, il n'en fut rien . Celle-ci restait campée sur ses traditions et la chose éprouvée: le biplan et le monoplan parasol.
Par ailleurs, Boeing travaillant aussi dans le civil avait commis le Boeing 200 Monomail réunissant le must des innovations: cabine passager fermée, moteur puissant, aérodynamique soignée et train d'atterrissages rentrant.
Le soutien du centre d'essai en vol de Wright Field amènera l'US Army à s'intéresser au petit chasseur de Boeing et commandera deux prototypes supplémentaires pour essais. La suite débouchera sur la commande de 136 exemplaires tout type confondu. Le P26 sera rapidement considéré comme un avion de transition par le fabricant et l'armée. Dans le même temps, les autres constructeurs ne ménageaient pas leurs efforts et produisaient des modèles plus puissants et performants, intégrant tous les raffinements aérodynamiques du moment tel que le Seversky P35 et le Curtiss P36 Hawk.
Malgré ce caractère transitoire, le P26 sera le premier avion monoplan de construction entièrement métallique de l'armée américaine et le premier à être proposé à l'export. Boeing du faire quelques concessions face au réticences de l'armée quand à la formule monoplan. Ceux-ci arguant que le caractère brutal des manœuvres en combat aérien ne permettrait pas à l'aile monoplan de résister à de telles contraintes.
Boeing équipera l'aile de haubans afin d'en assurer la rigidité et répondre aux craintes de l'armée. Il en résultera un avion très agile mais aux performances en deçà des nouveaux modèles qui allaient entrer en service. De l'autre coté de l'Atlantique les avionneurs travaillaient sur des modèles bien plus performant tel le Spitfire et le Messerschmit 109. Les Japonais, quand à eux, fourbissaient deux avions qui allaient être une très mauvaise surprise pour les Américains et les Anglais ; le Mitsubishi « Zero » pour la marine et Nakajima « Hayabuza » (« Oscar » pour les Américains) pour l'armée.
Le P26 fit le bonheur de ses pilotes et celui des visiteurs lors des journées portes ouvertes, ce dont témoigne Ed Maloney (fondateur du Plane of Fame) dans le fascicule qu'il écrivit sur cet avion ( Aero series 22) à propos de son émerveillement devant les hangars et les tarmacs pleins de ces avions multicolores. Paradoxalement, cet avion cumulera une carrière active fournie en sillonnant les cieux durant une bonne vingtaine d'années. Pour preuve de sa longévité, les exemplaires achetés par le Guatemala en 1944 avaient en moyenne plus de 2500 heures de vol chacun, en y ajoutant les 12 années supplémentaires d'utilisation par l'armée Guatémaltèque on doit facilement arriver à un total de plus ou moins 6000 h d'utilisation, pas vraiment de l'obsolescence programmée... Et un de ces avions vole encore au sein du Plane of Fame. Sa structure a été révisé, son moteur refait... et ça vole toujours .



EN RESUME:

1931 : construction du premier prototype sur initiative privée.

1932:Deux prototypes supplémentaires commandés par l'armée et envoyés, l'un pour essais statiques à Wright Field (Ohio) et le second pour essais opérationnel au sein du 1st pursuit group basé à Selfridge Field dans le Michigan. Durant ces essais le second prototype fit un cheval de bois à l'atterrissage qui finira sur le dos en entrainant la mort du pilote, cet accident amènera Boeing à modifier l'appui-tête en l'allongeant en hauteur afin de protéger la tête du pilote. L'avion était apparemment délicat à poser à cause de son train étroit, d'une vitesse d'atterrissage élevée et d'un freinage capricieux qui pouvait faire passer facilement l'avion sur le dos. Cela amènera Boeing à ajouter des volets afin de réduire cette vitesse d'atterrissage. Une protection en caoutchouc fut aussi posée sur l'intrados des empennages afin de les protéger des projections au roulages, par la suite la roulette de queue sera modifiée afin de surélever l'arrière du sol et éliminer ce problème.

1933/34 : mise en service au sein de l'US ARMY AIR CORPS. L'avion est présent sur tout le territoire américain, inclus Hawai.

HAWAI : lors de l'attaque de Pearl Harbour, il reste 14 P26 assignés au vol d'entrainement et à l'instruction. Ils seront tous détruit par les japonais sur l'aérodrome de Wheeler Field.

PHILIPPINE : l'avion est présent dés 1940 au sein du 3rd PG et sera rapidement remplacé par des P40. 9 P26 seront cédés aux forces Philippines, les restants servant d'avions d'entrainements. Les P26 Philippins combattront les Japonais durant l'invasion de leur ile et obtinrent quelques jolis succès contre les bombardiers. Plusieurs de ces pilotes seront décorés par Mac Arthur pour loyauté et vaillance au combat.

PANAMA : face à la crainte d'une attaque Japonaise des P26 seront envoyés pour la surveillance du canal où ils seront rapidement remplacés par des P40 et des P36. Le Panama achètera un premier P26 en 1942 pour assurer la surveillance de ses cotes et en achètera deux supplémentaires en 1943.
Finalement il les cédera au Guatemala en 1944, les tensions autour du canal étant devenues nulles.

GUATEMALA : Deux seront achetés dans le surplus présent au Panama. Plus les trois vendu ensuite par le Panama. Ces avions seront opérationnels jusqu'en 1950 où il furent remplacés par des P51D provenant des surplus de l'US Air Force, puis serviront d'avions d'entrainement jusqu'en 1955 et céderont la place à des AT6.
Trois seront finalement survivant, un au musée de Guatemala City, le second au Smithsonian institut et le troisième chez Ed Maloney au sein du Plane of Fame museum où il vole toujours.
L'armée Américaine ,pour sa part, après 8 années et demie de service a envoyé son parc de P26 comme cellule d'instruction mécanique avant de les ferrailler.

ESPAGNE : Un exemplaire export (model 281) présenté puis vendu au gouvernement Républicain sans équipement. Beaucoup trop cher à l'achat, il n'y eu pas de suite. L'avion fut intégré au force aérienne armé de mitrailleuses Vickers montées apparemment en gondole sous les ailes, il sera perdu en combat.

CHINE : 11 exemplaires export (model 281) vendu à la Chine qui combattront dans la région de Nankin et seront rapidement hors service à cause de conditions de maintenances difficiles et d'un manques de pièces chronique.

LES VERSIONS :

P26A : moteur Pratt&Whitney R1340-27 avec carburateur. Pas de volet sur les premiers exemplaires, tous rétrofités lorsqu'il fut décidé de monter les volets en série.

P26B : identique au modèle A mais avec un moteur Pratt&Whitney R1340-33 à injection directe et une manette des gaz contrôlant automatiquement le mélange riche pauvre du moteur. Sur les P26B, il n'y a pas de prise carburateur sur le nez.

P26C : identique au modele A avec des modifications mineures aux ailerons et divers autres organes.

Model 281 export : identique au modele A sans radio, armement et système de synchronisation du tir, respirateur. A charge de l'acheteur de l'équiper avec le matériel de son choix.

Quelques modèles A et C furent rétrofités en B. En 1936, Boeing mis au point un nouveau type de roulette avec amortisseur oléo-pneumatique qui sera monté sur tous les appareils à l'échelon des ateliers de maintenances.

Vitesse maximum :  378 km
Altitude maximum : 8000 m
Taux de montée en minute : 700 m
Autonomie : 1000 km en vol de croisière
Armement : 2x Browning 0.30 ou mix Browning 0.30 (gauche) et 0.50(droite) tirant à travers l'hélice.
Coût unitaire : 14000$ /1932 soit 267344.38$ /2022.

LES UNITES DE L'US ARMY AIR CORPS




DU FULL COLOR EN TECHNICOLOR :
Le passage du vert olive au bleu dans l'US Army n'est pas bien défini. Dans la monographie Aérofax, il est expliqué, d'après les témoignages d'anciens de Boeing que tous les P26 sortaient d'usine peint avec un fuselage vert olive et auraient été passés en bleu lors des grandes révisions. Une des raisons invoquée étant la présence d'un grand stock de peinture bleu dans les inventaires de l'armée qu'il fallait utiliser, ce qui aurait amené l'ordre de repeindre le vert olive en bleu lors des grandes révisions, Ed Maloney (Plane of Fame) explique que jeune il voyait se côtoyer des avions au fuselage vert olive ou bleu. On trouve la même chose sur les bombardiers Martin B10 et Curtiss A12 « Shrike ».  


LA MAQUETTE ET SA DOC TOP-SECRET:



La doc AÉROFAX est un must avec des photos d'usine de très bonne qualité et un texte retraçant l'histoire de cet avion, très détaillé et précis.
L'Aero series  est un très bon complément avec des photos plus grandes et de très bonne qualité et un plan/profil au 1/48.Le fuselage est correct en contour la différence avec le plan étant la profondeur du fuselage plus forte sur le plan et en comparant avec la doc je reste mitigé quand à l'interprétation du dessinateur, je trouve qu'il a un peu forcé le trait concernant cette dite profondeur du fuselage, de toute façon, trop chi;;t à corriger.

DONC:
C'est un joli kit quand on se réfère à l'époque de sa sortie, assez proche en contours de l'original.
MAIS, (il en faut bien un...) il a ingurgité trop de Hamburger et de coca notre petit ricain, l'a pris du gras !!
D'où le sous-titre « cure d'amaigrissement, bienvenue au SPA de l'US Army Air Corps ».
J'avais commencé par le cockpit il y a... je me rappelle plus. J'avais affiné les parois au maximum, ce qui va me créer quelque petites délicatesses pour la suite, mais j'aurais sa peau à ce clown.






Donc en attendant que le démon du 109 me revienne (si quelqu'un croise Herr Schmitt...) j'ai replanché sur mon petit gras du bide en commençant par une bonne cure à base de grain 180, un truc qui arrache ; d'ailleurs y'en a dedans. J'lui ai même offert une tournée chez Milliput.



Il faut remettre à la verticale et // l'arrière du fuselage de la dérive à l'avant des empennages pour continuer vers la forme ovoïde du fuselage et non rondouillarde comme l'a interprété Hobbycraft/Academy. Le plastique est épais et solide mais il faut garnir au milliput à l'intérieur sur l'arrière du fuselage pour éviter de fragiliser et déformer le plastique puisqu'à un endroit ce plastique n'aura plus que l'épaisseur d'une feuille de papier machine. Ensuite c'est garniture extérieure pour reprendre la continuité du volume et combler les manques de matières dû à la modification du volume. Rondouillard vers plat et ovoïde. Je fais toute cette modification en utilisant un certain nombre d'image décrivant ces volumes, ce qui impose des allez retour constants entre photo et plastique.



J'ai ensuite commencé à préciser le profil du bord de fuite de l'aile qui est remontant







Ensuite le second gros morceau, rectifier le profil de l'aile. Là aussi trop de coca, pas assez de muscle.
Le profil est recopié en quatre exemplaires et sa forme est réalisée en se servant des docs usine de la monographie Aérofax.





Massacre à la râpe et suture au milliput...  
On en profite pour corriger le contour du bout des plumes pour les rendre un chouia plus pointus.





Pas de quartier, je lui coupe les plumes.







Va falloir meubler l'intérieur...



Et ben v'là t'y pas un début de résultat.






Work in progress, bonne fin de semaine à tous.

Alan

Ouch le scratch de malade !!!! Merci pour l’intro documentée et les références. Bon courage pour la suite cher Alan, je suis bien calé au 1er balcon!
Bye
JeF

Oh la vache quel boulot !

Hello les amis de la truelle,

Merci les amis. Quand on aime, on ne compte pas.

Le work in progress... progresse.
Le gros travail de correction étant réalisés, je peux passer à l'habillage du cockpit.
Il est bien temps car à force de manipulation et traçage des lignes principales de structure, les parois du cockpit accusent de plus en plus de faiblesses. Pour tracer les lignes, je me suis aidé de scotch Tamiya pour servir de guide et de microscies Hasegawa. Ça me permet de ne pas trop appuyer.
Pour l'intérieur, il n'y a rien à récupérer du kit donc va falloir y aller de la fabrication de toutes ces charmantes pièces.
J'ai commencé par l'habillage du plancher et de la parois dorsale en utilisant de la carte de 0.13 que j'ai gravé à l'envers afin de figurer quelques lignes de rivets qui sont en relief et non flush. Ça anime la surface.
Pour protéger ces rivets, j'ai appliqué un peu de cyano fluide sur la face arrière dans les p'tits trous afin de les protéger lors du collage. Collage par capillarité uniquement sur les bords, c'est tellement fin que ça adhère immédiatement.



Traçage en oubliant pas d'inverser en miroir si gauche différent de droit et le résultat.


Sur la cloison dorsale, il y a une plaque en tôle emboutie qui masque la soute à bagage et sert de dossier. Eduard avait fait une planche de photodécoupe il y a longtemps qui a cette pièce, je ne sais pas ce que ça vaut et la planche Reheat est plus que bof.
Après avoir chercher comment faire cette foutue pièce, j'en suis venu à la conclusion qu'il fallait faire comme dans la réalité. J'ai donc réalisé un master négatif de la pièce sur lequel je peux emboutir une feuille d'étain de 0.10. C'est sur la bonne voie mais il faut que je retravaille le master pour mieux prendre en compte l'épaisseur de la feuille d'étain.

Le brelage dorsal est un ajout moderne. A l'époque, il n'y avait qu'un brelage ventrale.


Essai 1, y'a de l'idée...


Essai 2, plus convaincant.



Le "trempoir" pour le séant, le rebord est fait à l'aide de fil étiré d'un diamètre de... à l’œil.







Les renforts de l’appui-tête sont collés, ils s'évasent au niveau de l'angle avec une ligne de soudure à cet endroit sur la vraie machine.


Placement à blanc du manche et du baquet pour voir si je suis cohérent par rapport à la doc. Le manche est poussé en avant et les volets d'empennages seront collés à piquer comme montré sur la plupart des photos d'époque. Sur le vrai, le débattement du manche est de 20° sur les quatre axes.




Ça a beau être considéré spartiate, y'a du matos à poser tout de même.


Une agréable semaine à vous tous.

Alan

salut je prend place avec un peut de retard bonne suite

Du très beau boulot de détaillage jusque là bravo

Je m'installe pour la suite

Joli coucou et çà commence fort, je vais suivre çà.

Quel plaisir à suivre !
Je m'installe pour la suite qui promet !

Je m'installe également.

le début est passionnant...ainsi que l'historique.
Bonne suite.

Hello les mécanos du plastoc,

Merci les amis, l'affaire continue.
J'ai poursuivi l'habillage du cockpit. Les gros éléments en premier puis les petits et enfin les minuscules.
L'ensemble est fait par empilement de cartes plastiques, morceaux de grappe et fils étirés. Un peu de chutes de photodécoupes mis en forme pour les manettes.






La cloison pare-feu en cours de détaillage.




Le plancher en cours.













Une vue intermédiaire pour juger du résultat.
Le manche à balai est un peu trop grand au final et devra être révisé...  




C'est fou tout les machins qu'on peut caser dans un cm2. C'est très GAZOBU mais les gibis sont avec moi, ça va dépoter  

A bientôt pour la suite de la cure.

Alan

Beau travail

Hello les fadas du plastikenstock,

Merci les gars.
Michel, un sacerdoce    Des artistes de la tôle les ingés de Boeing...

Bon, mon petit rondouillard est loin d'avoir fini son training mais y'a des progrès.

Le baquet pour faire trempette et le manche à balai un peu raccourci, la poignée est un poil trop grosse du coup.





Les parois en cours d'équipement.


Le porte carte et juste positionné à la patac.. pour la photo.




Y'en a, de la manette...



La parois pare feu et la boite à chaussure pour les petits petons de l'aviateur.
Les palonniers sont posés à blanc.



Une fois assemblé pour de faux, tout parait de guingois



Mais en lui serrant la taille pour qu'il ait l'air d'un warrior, tout rentre dans l'ordre.
On voit bien la forme ovoïde par rapport au coté rondouillard original du kit.

Voilà ce qu'on pourra voir une fois fermé.










A bientôt pour la suite de cette cure.
Profitez-en, faites bombances    et bonjour à la mère Noël      
Prenez soin de vous et de ceux que vous aimez.
Alan

Bzzzzzz Ouch!!! Mais que c’est beau !!!!🤩🤩🤩🤩🤩🤩
Ça pique aux yeux très fort Et je vais encore pleurer jusqu’à Noël.
Bravo cher Alan, Bonnes fêtes, bonnes maquettes et see you à la rentrée
JeF

Quel scratch de fou, bravo

Hello les amis du y'acalaponcer,

Et c'est reparti pour un p'tit tour du soleil, une bonne année à tous.

Quelques avancées sur le cockpit de mon petit grassouillet.
Jo, pilote en platoc de son état, que j'ai sauvé du monstre "poubelus" m'a gentiment prêté son bras afin que j'ajuste la poignée du manche à sa dextre.  



Du coup les bras lui en sont tombés devant l'ampleur de la tâche...    
J'ai laissé tomber le coup de l'étain embossé, le résultat n'étant pas assez fin pour l'échelle et cet emploi.
D'autant qu'il y a un coussin qui vient cacher la majeur partie du chef d'oeuvre, alors soyons pragmatique
et sortons la carte qui va bien !  



Mais ça ne l’empêche finalement pas d’esquisser un léger rictus de satisfaction.  












Avant la couche de surfacer.


Les Browning d'un ancien set Aires en cours d'adaptation.


Prochaine partie de plaisir, le tableau de bord et je pourrai passer à la mise en peinture.

Voilà, voilà. A bientôt et en vous souhaitant de la joie et de la bonne humeur; on va en avoir besoin.

Alan

Magnifique boulot de scratch bravo

Ah! voui, j'avais laissé la chose pour cause de surveillance de concours mais PAF dans la rétine!
Ca pegue peut etre mais c'est pas pegous, c'est beau!!