Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
ChrisTom a écrit:Bonjour l'ami.
je vais bien sûr suivre ton montage, cher voisin ignymontain.
Bon concours.
Christian-d'à-coté-de-chez-moi !
Mais dis-moi... je n'ai pas ton pseudo dans ma liste des participants que je tiens soigneusement à jour !
Saabophile- Pilotes
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
pifortyman a écrit:Le cocher, le cocher... la cochère, comme la porte du même nom: FEMININ!
J'ai hésité justement à cause du coté huisserie et je ne savais pas si on peut dire "pilotesse" (alors que je n'ai aucun doute sur l'anagramme !)
Saabophile- Pilotes
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Pilote, c'est asexué, Aviatrice était le mot d'époque.
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
ho!!
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
fourneau a écrit:ho!!
un caudron "Made in Britain"
C'est vrai qu'on dirait presque des jumeaux et avec le "Bibi" d'Eric - aka Nieuport - ça fait une jolie famille je trouve !
Sans doute plus facile que ton magnifique stringbag vieilli en fût de chêne
Saabophile- Pilotes
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Bonsoir !
Je m'installe aussi avec ce sympathique avion ! quelle élégance ce Percival !
Pour une fois que les anglois font un avion qui ne ressemble pas à un ptérodactyle...
Bon concours et bon montage !
Je m'installe aussi avec ce sympathique avion ! quelle élégance ce Percival !
Pour une fois que les anglois font un avion qui ne ressemble pas à un ptérodactyle...
Bon concours et bon montage !
Eric Etchegaray- "Big Moustaches"
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Merci Eric,
C'est sympa de passer me voir
Moi j'aime bien ce style de petit coucou et j'espère que je pourrai vous le montrer sous son meilleur jour !
C'est sympa de passer me voir
Moi j'aime bien ce style de petit coucou et j'espère que je pourrai vous le montrer sous son meilleur jour !
Saabophile- Pilotes
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Salut Philippe,
je vais suivre avec intérêt !
Bon montage et bon concours
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Bon montage et bon concours
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Merci Laurent, c'est gentil de passer me voir !LowLow a écrit:Salut Philippe,
je vais suivre avec intérêt !
Bon montage et bon concours
Il reste de la place, le frigo est plein et les friandises sont sur la table
Saabophile- Pilotes
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
salut Philippe
belle maquette , fais toi plaisir !
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Red Arrow a écrit:salut Philippe
belle maquette , fais toi plaisir !
C'est bien mon intention, merci Thierry !
Et ton petit nid douillet ? On le voit bientôt se détacher sur l'azur ?
Saabophile- Pilotes
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Bien !
Maintenant que tous les copains sont là ou près d'arriver, il est temps d'approfondir un peu le sujet.
Dans les pas de FredOscop, je vous propose de rendre hommage à une autre héroïne volante de ces temps glorieux, j'ai nommé Jean Batten.
Je signalerais en préambule qu'elle a un point commun avec Amelia Earhart : elles ont toutes deux partagé en 1935 le trophée international Harmon pour "le vol le plus remarquable réalisé par une femme", distinction dont Jean sera à nouveau honorée en 1936 et 1937.
En 1938, elle reçoit la médaille de la Fédération Aéronautique Internationale, la plus haute distinction du monde de l’aviation.
Mais faisons plus ample connaissance avec cette grande dame.
Jane Gardner (qui préférait qu’on l’appelât Jean) Batten est née le 15 septembre 1909 à Rotorua, une ville située sur le lac éponyme, sur l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, et réputée pour son activité géothermique et sa culture maorie. Pour les amateurs d’Ovalie, c'est également la ville natale de Steve McDowall (All Blacks) et de Tony Marsh (ASM Clermont et XV de France).
Rotorua n’a d’ailleurs pas oublié son héroïne :
Galerie de l'aéroport international de Rotorua dédiée à Jean Batten - photo de Catherine Dowman
Mémorial de Jean Batten à côté du centre d'information de Rotorua - photo de Catherine Dowman
Le 25 juillet de cette même année, Louis Blériot était devenu le premier homme à traverser la Manche et Ellen, la mère de Jean, épingla un article de journal relatant cet exploit au mur à côté du berceau. Personne ne peut dire si cela influença la carrière de sa fille mais il est certain que cette mère qui compta beaucoup dans sa vie a clairement réussi à inculquer à Jean l'idée – peu répandue à l'époque - qu'elle devait être prête à rivaliser avec les hommes.
Elle découvre à 19 ans l’aviation lors d’un vol qu’elle effectua à bord du trimoteur Fokker « Southern Cross » du célèbre et séduisant pilote australien Charles Kingsford Smith, premier aviateur à avoir traversé le Pacifique. Cet homme, charmant au demeurant, donna à Jean 2 conseils qu’elle s’empressa d’oublier : ne pas voler de nuit et ne pas tenter de battre des records établis par des hommes…
A l’âge de 20 ans, elle quitte son pays natal en compagnie de sa mère, pour Londres et toutes deux louent un appartement à proximité de l’école de pilotage du terrain de Stag Lane (De Havilland Airfield) alors fréquentée par les jeunes de la haute société dont le prince de Galles. Elle y obtient sa licence de pilote en décembre 1930.
Elle obtiendra ensuite un diplôme de pilote professionnel en 1932.
Après deux tentatives manquées et émaillées d’épisodes rocambolesques pour rejoindre l’Australie, elle atterrit enfin à Darwin le 23 mai 1934 à bord de son Gipsy Moth. Son voyage de 14 jours et 22 heures bat de plus de quatre jours le précédent record détenu par l’aviatrice anglaise Amy Johnson.
Pour son 26e anniversaire le 15 septembre 1935, Jean Batten s’offre un Percival D.3 Gull Six qui lui coûte 1 750 £ - «chaque centime que je possédais» déclara-t-elle - et décida d'effectuer la traversée de l'Atlantique Sud, de l'Afrique-Occidentale française au Brésil.
Partie de Lympne, le 11 novembre 1935, elle se posa à Casablanca, au Maroc, dix heures plus tard avant de rallier l'aérodrome de Thiès, près de Dakar où une mauvaise surprise l'attendait. Elle apprit en effet qu'à la suite d'une erreur de livraison, son ravitaillement en carburant ne pouvait être assuré. Elle réussit toutefois à persuader les autorités locales de faire venir par la route l'essence qui lui était destinée.
Femme élégante et raffinée, elle ne s’en impliquait pas moins dans la maintenance de son avion. À Thiès, elle insista pour travailler elle-même sur le moteur du Gull et superviser le ravitaillement. Malgré les récriminations des mécaniciens de l'armée de l'air française, elle s'assura que le carburant était soigneusement filtré à travers une peau de chamois pour éliminer les impuretés.
Ceci étant fait, Jean se débarrassa de tout ce qui lui parut superflu : parachute, gilet de sauvetage, pièces de rechange du moteur, boîte à outils, pistolet à fusées éclairantes et autres équipements de survie imposés par les règlements français. Puis, sous les yeux d'un commandant français médusé, elle replia soigneusement deux robes du soir et les rangea dans son casier. Questionnée plus tard sur les raisons d’un choix si féminin, Jean fit remarquer que les robes ne pesaient presque rien et qu’elle en aurait besoin si son vol réussissait alors que l'équipement lourd ne serait lui d'aucune utilité si elle finissait dans l’Atlantique… logique non !
Jean Batten s'envola le 13 novembre, à 5 h 30, pour Natal, guidée par les phares de camions et automobiles disposés le long de la piste de Thiès.
Au-dessus de l'Atlantique, elle s'engouffra au milieu d'une tempête et son compas s'affola. Puis tout redevint normal, et elle put continuer sa route en toute quiétude.
Après douze heures de vol solitaire, elle n'avait toujours pas atteint la côte américaine et dut passer sur son dernier réservoir qui lui assurait seulement quelques heures supplémentaires d’autonomie. Soudain, elle aperçut un point lumineux, qu'elle identifia comme le cap Sao Roque. Sur une distance de plus de 3 000 km, elle avait commis une erreur de navigation d'à peine 800 m. Quand elle atterrit à Natal où elle reçut un accueil triomphal, Jean Batten était la première femme à avoir traversé l'Atlantique Sud en solitaire.
Avec un vol transocéanique d'une durée de 13 heures et 15 minutes, Jean avait battu le temps de l'Australien Jim Mollison à travers l'Atlantique Sud de plus de quatre heures. Son temps total écoulé de l'Angleterre au Brésil - un voyage de 5 000 milles - était de 61 heures et 15 minutes, un record du monde, et presque un jour de moins que le record Angleterre-Brésil de Mollison.
Fin du premier épisode…
Maintenant que tous les copains sont là ou près d'arriver, il est temps d'approfondir un peu le sujet.
Dans les pas de FredOscop, je vous propose de rendre hommage à une autre héroïne volante de ces temps glorieux, j'ai nommé Jean Batten.
Je signalerais en préambule qu'elle a un point commun avec Amelia Earhart : elles ont toutes deux partagé en 1935 le trophée international Harmon pour "le vol le plus remarquable réalisé par une femme", distinction dont Jean sera à nouveau honorée en 1936 et 1937.
En 1938, elle reçoit la médaille de la Fédération Aéronautique Internationale, la plus haute distinction du monde de l’aviation.
Mais faisons plus ample connaissance avec cette grande dame.
Jane Gardner (qui préférait qu’on l’appelât Jean) Batten est née le 15 septembre 1909 à Rotorua, une ville située sur le lac éponyme, sur l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, et réputée pour son activité géothermique et sa culture maorie. Pour les amateurs d’Ovalie, c'est également la ville natale de Steve McDowall (All Blacks) et de Tony Marsh (ASM Clermont et XV de France).
Rotorua n’a d’ailleurs pas oublié son héroïne :
Galerie de l'aéroport international de Rotorua dédiée à Jean Batten - photo de Catherine Dowman
Mémorial de Jean Batten à côté du centre d'information de Rotorua - photo de Catherine Dowman
Le 25 juillet de cette même année, Louis Blériot était devenu le premier homme à traverser la Manche et Ellen, la mère de Jean, épingla un article de journal relatant cet exploit au mur à côté du berceau. Personne ne peut dire si cela influença la carrière de sa fille mais il est certain que cette mère qui compta beaucoup dans sa vie a clairement réussi à inculquer à Jean l'idée – peu répandue à l'époque - qu'elle devait être prête à rivaliser avec les hommes.
Elle découvre à 19 ans l’aviation lors d’un vol qu’elle effectua à bord du trimoteur Fokker « Southern Cross » du célèbre et séduisant pilote australien Charles Kingsford Smith, premier aviateur à avoir traversé le Pacifique. Cet homme, charmant au demeurant, donna à Jean 2 conseils qu’elle s’empressa d’oublier : ne pas voler de nuit et ne pas tenter de battre des records établis par des hommes…
A l’âge de 20 ans, elle quitte son pays natal en compagnie de sa mère, pour Londres et toutes deux louent un appartement à proximité de l’école de pilotage du terrain de Stag Lane (De Havilland Airfield) alors fréquentée par les jeunes de la haute société dont le prince de Galles. Elle y obtient sa licence de pilote en décembre 1930.
Elle obtiendra ensuite un diplôme de pilote professionnel en 1932.
Après deux tentatives manquées et émaillées d’épisodes rocambolesques pour rejoindre l’Australie, elle atterrit enfin à Darwin le 23 mai 1934 à bord de son Gipsy Moth. Son voyage de 14 jours et 22 heures bat de plus de quatre jours le précédent record détenu par l’aviatrice anglaise Amy Johnson.
Pour son 26e anniversaire le 15 septembre 1935, Jean Batten s’offre un Percival D.3 Gull Six qui lui coûte 1 750 £ - «chaque centime que je possédais» déclara-t-elle - et décida d'effectuer la traversée de l'Atlantique Sud, de l'Afrique-Occidentale française au Brésil.
Partie de Lympne, le 11 novembre 1935, elle se posa à Casablanca, au Maroc, dix heures plus tard avant de rallier l'aérodrome de Thiès, près de Dakar où une mauvaise surprise l'attendait. Elle apprit en effet qu'à la suite d'une erreur de livraison, son ravitaillement en carburant ne pouvait être assuré. Elle réussit toutefois à persuader les autorités locales de faire venir par la route l'essence qui lui était destinée.
Femme élégante et raffinée, elle ne s’en impliquait pas moins dans la maintenance de son avion. À Thiès, elle insista pour travailler elle-même sur le moteur du Gull et superviser le ravitaillement. Malgré les récriminations des mécaniciens de l'armée de l'air française, elle s'assura que le carburant était soigneusement filtré à travers une peau de chamois pour éliminer les impuretés.
Ceci étant fait, Jean se débarrassa de tout ce qui lui parut superflu : parachute, gilet de sauvetage, pièces de rechange du moteur, boîte à outils, pistolet à fusées éclairantes et autres équipements de survie imposés par les règlements français. Puis, sous les yeux d'un commandant français médusé, elle replia soigneusement deux robes du soir et les rangea dans son casier. Questionnée plus tard sur les raisons d’un choix si féminin, Jean fit remarquer que les robes ne pesaient presque rien et qu’elle en aurait besoin si son vol réussissait alors que l'équipement lourd ne serait lui d'aucune utilité si elle finissait dans l’Atlantique… logique non !
Jean Batten s'envola le 13 novembre, à 5 h 30, pour Natal, guidée par les phares de camions et automobiles disposés le long de la piste de Thiès.
Au-dessus de l'Atlantique, elle s'engouffra au milieu d'une tempête et son compas s'affola. Puis tout redevint normal, et elle put continuer sa route en toute quiétude.
Après douze heures de vol solitaire, elle n'avait toujours pas atteint la côte américaine et dut passer sur son dernier réservoir qui lui assurait seulement quelques heures supplémentaires d’autonomie. Soudain, elle aperçut un point lumineux, qu'elle identifia comme le cap Sao Roque. Sur une distance de plus de 3 000 km, elle avait commis une erreur de navigation d'à peine 800 m. Quand elle atterrit à Natal où elle reçut un accueil triomphal, Jean Batten était la première femme à avoir traversé l'Atlantique Sud en solitaire.
Avec un vol transocéanique d'une durée de 13 heures et 15 minutes, Jean avait battu le temps de l'Australien Jim Mollison à travers l'Atlantique Sud de plus de quatre heures. Son temps total écoulé de l'Angleterre au Brésil - un voyage de 5 000 milles - était de 61 heures et 15 minutes, un record du monde, et presque un jour de moins que le record Angleterre-Brésil de Mollison.
Fin du premier épisode…
Dernière édition par Saabophile le Dim 13 Sep 2020 - 16:33, édité 1 fois
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Bonsoir,
Salut Philippe,très bon choix historique avec cet appareil So British et de son(sa) pilote,aviatrice c'est mieux!Bien vue la petite historique de présentation de cette héroïne avant ton montage!Bon concours!
Thierry
Salut Philippe,très bon choix historique avec cet appareil So British et de son(sa) pilote,aviatrice c'est mieux!Bien vue la petite historique de présentation de cette héroïne avant ton montage!Bon concours!
Thierry
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Saabophile a écrit:Red Arrow a écrit:salut Philippe
belle maquette , fais toi plaisir !
C'est bien mon intention, merci MICHEL
Et ton petit nid douillet ? On le voit bientôt se détacher sur l'azur ?
La boite est déjà dépilée du stock : ça commence bien
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Hello,
Merci pour cette première page historique d'une battante d'un sexe pas si faible que ça.
Croustillante l'anecdote sur la paire de robes.
Bon montage.
Rainbow.
Merci pour cette première page historique d'une battante d'un sexe pas si faible que ça.
Croustillante l'anecdote sur la paire de robes.
Bon montage.
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Vraiment désolé Michel
Je ne sais pas pourquoi j'ai autant de mal à associer ton prénom et ton pseudo mais je compte bien m'appliquer à respecter ton identité pour la suite...
Je ne sais pas pourquoi j'ai autant de mal à associer ton prénom et ton pseudo mais je compte bien m'appliquer à respecter ton identité pour la suite...
Saabophile- Pilotes
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Merci Olivier,
Il y a bien d'autres anecdotes que je vous conterai un peu plus tard.
Comme je n'ai pas voulu alourdir mon récit au-delà du raisonnable, je n'ai pas développé les premiers raids vers l'Australie de mam'zelle Jean mais d'autres s'y sont attelés bien mieux que je ne saurais le faire.
Je vous invite donc à lire ce passionnant récit :
https://www.aerovfr.com/2017/02/les-aventures-en-solo-de-jean-batten-1/
Il est en 4 parties et chacune finit par le lien vers le chapitre suivant.
Vous y apprendrez notamment comment Jean réussit à persuader un riche italien de lui prêter les ailes de son Moth pour réparer le sien !
Bonne découverte à tous et à bientôt pour un nouvel épisode
Il y a bien d'autres anecdotes que je vous conterai un peu plus tard.
Comme je n'ai pas voulu alourdir mon récit au-delà du raisonnable, je n'ai pas développé les premiers raids vers l'Australie de mam'zelle Jean mais d'autres s'y sont attelés bien mieux que je ne saurais le faire.
Je vous invite donc à lire ce passionnant récit :
https://www.aerovfr.com/2017/02/les-aventures-en-solo-de-jean-batten-1/
Il est en 4 parties et chacune finit par le lien vers le chapitre suivant.
Vous y apprendrez notamment comment Jean réussit à persuader un riche italien de lui prêter les ailes de son Moth pour réparer le sien !
Bonne découverte à tous et à bientôt pour un nouvel épisode
Saabophile- Pilotes
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Très sympa Philippe ce premier épisode sur Jean
jimvit- "Big Moustaches"
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Merci Jean-Marc
Il faudra aussi que je vous parle de l'avion un de ces jours...
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Saabophile- Pilotes
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Bonsoir à tous
Cela fait un moment que je n'ai pas fait vivre ce post qui devrait aboutir à la présentation d'un joli petit avion, c'est du moins sa finalité
Avant de continuer l'histoire de Jean et d'entamer celle de son avion, laissez-moi vous présenter son concepteur.
De l'avion bien entendu, pas de Jean ! Essayez de suivre
Voici donc un autre personnage illustre de l'aviation qui nous arrive des antipodes, j'ai nommé Edgar Wikner Percival
Né le 23 février 1898 à Albury en Nouvelle-Galles du Sud (dont la capitale est Sidney avec son sublime opéra), Edgar Wikner Percival découvre l’aviation en 1911 grâce à William Ewart Hart, chirurgien-dentiste de son état, qui utilise un avion pour effectuer ses tournées.
Comme ce brave docteur-aviateur atterrit régulièrement sur une prairie proche de la ferme familiale, le jeune Edgar participe à la maintenance de l’appareil et en est récompensé par un baptême de l’air.
Dès l’année suivante, il construit et teste ses premiers planeurs…
Après son engagement en 1915 dans le 7ème Régiment de Cavalerie Légère australien stationné en Palestine, il est transféré l’année suivante au Royal Flying Corps britannique. Son brevet de pilote en poche, il est affecté en 1917 au No 60 Sqdn où il effectue de nombreuses sorties en compagnie de l’as canadien Billy Bishop.
Ses qualités de pilote lui valent rapidement une nomination au rang de capitaine et son transfert au No 11 Sqdn, opérant au Moyen-Orient et en Grèce. C’est durant son séjour en Egypte qu’il conçoit son premier avion, un Bristol F.2B modifié avec un moteur Rolls-Royce_Eagle
Il retourne ensuite en Australie avec dans ses bagages deux Avro 504 et un Airco DH.6 des surplus militaires qui lui permettent de créer une petite entreprise de travaux aériens réalisant des vols charters ainsi que des films et l’exploration de la route Melbourne-Brisbane en 1921 ou la victoire dans la course Melbourne-Geelong en 1923.
Toujours attiré par la conception aéronautique, cette activité lui permet de gagner différents prix avant de se retrouver en 1926 en baie de Guantanamo aux commandes d’un Sopwith Pup "navalisé" avec lequel il se livre à des essais de catapultage depuis le cuirassé USS Idaho (BB-42).
Engagé en 1929 par le Ministère de l’Air britannique comme pilote d’essais, Edgar Percival se spécialise dans les hydravions et la mise au point des avions participant à la Coupe Schneider. Pilote expérimenté et respecté, il est surnommé "The Hat" en référence au feutre qui ne quitte que rarement son crâne même quant il pilote.
Le 5 juillet 1930, il participe à la King's Cup et se classe 24ème sur 61 participants classés aux commandes d'un Hendy 302 conçu par Basil B. Herderson qu'il s'est acheté le mois précédent :
Estimant que cet avion mérite d'être amélioré, il décide d’en extrapoler un triplace de grand tourisme, conservant les lignes générales du monoplace et la voilure cantilever repliable pour laquelle Henderson avait déposé un brevet. C'est ainsi que naquit le Percival D.1 Gull mais je commence là à dévoiler le sujet de présentation de cet avion magnifique. Nous y reviendrons...
Pour assurer la production et la commercialisation de son avion, Edgar Percival fonde alors sa propre société, la Percival Aircraft Company qui sous-traite la production à George Parnall & Sons dans le Gloucestershire.
En 1934, Percival installe sa propre usine à l' aéroport de Gravesend dans le Kent où sera également produit le Mew Gull qui mériterait à lui seul une étude approfondie :
En mars 940, il démissionne de sa société et sert durant la guerre dans la Royal Air Force Volunteer Reserve.
Hunting & Son Ltd s'étant porté acquéreur de Percival Aircraft en septembre 1944, Edgar Percival vend sa participation dans son entreprise et déménage aux États-Unis pour continuer à travailler sur la technologie des moteurs. Son ancienne société prend le nom de Hunting Percival Aircraft Ltd; "Percival" ne disparaissant de la raison sociale qu'en 1957.
Naturalisé américain en 1948, Percival crée en 1954 la "Edgar Percival Aircraft Limited" à Stapleford, en Angleterre où est conçu le Edgar Percival EP9, un avion utilitaire bien adapté à un usage agricole. Un total de 21 ont été construits avant que Percival ne vende son entreprise en 1960 à Samlesbury Engineering la nouvelle société a formé Lancashire Aircraft Company pour poursuivre la construction d'avions de l'EP9.
Au moment de sa mort en 1984, Percival travaillait toujours sur des projets d'aviation au Royaume-Uni et en Nouvelle-Zélande.
Cela fait un moment que je n'ai pas fait vivre ce post qui devrait aboutir à la présentation d'un joli petit avion, c'est du moins sa finalité
Avant de continuer l'histoire de Jean et d'entamer celle de son avion, laissez-moi vous présenter son concepteur.
De l'avion bien entendu, pas de Jean ! Essayez de suivre
Voici donc un autre personnage illustre de l'aviation qui nous arrive des antipodes, j'ai nommé Edgar Wikner Percival
Né le 23 février 1898 à Albury en Nouvelle-Galles du Sud (dont la capitale est Sidney avec son sublime opéra), Edgar Wikner Percival découvre l’aviation en 1911 grâce à William Ewart Hart, chirurgien-dentiste de son état, qui utilise un avion pour effectuer ses tournées.
Comme ce brave docteur-aviateur atterrit régulièrement sur une prairie proche de la ferme familiale, le jeune Edgar participe à la maintenance de l’appareil et en est récompensé par un baptême de l’air.
Dès l’année suivante, il construit et teste ses premiers planeurs…
Après son engagement en 1915 dans le 7ème Régiment de Cavalerie Légère australien stationné en Palestine, il est transféré l’année suivante au Royal Flying Corps britannique. Son brevet de pilote en poche, il est affecté en 1917 au No 60 Sqdn où il effectue de nombreuses sorties en compagnie de l’as canadien Billy Bishop.
Ses qualités de pilote lui valent rapidement une nomination au rang de capitaine et son transfert au No 11 Sqdn, opérant au Moyen-Orient et en Grèce. C’est durant son séjour en Egypte qu’il conçoit son premier avion, un Bristol F.2B modifié avec un moteur Rolls-Royce_Eagle
Il retourne ensuite en Australie avec dans ses bagages deux Avro 504 et un Airco DH.6 des surplus militaires qui lui permettent de créer une petite entreprise de travaux aériens réalisant des vols charters ainsi que des films et l’exploration de la route Melbourne-Brisbane en 1921 ou la victoire dans la course Melbourne-Geelong en 1923.
Toujours attiré par la conception aéronautique, cette activité lui permet de gagner différents prix avant de se retrouver en 1926 en baie de Guantanamo aux commandes d’un Sopwith Pup "navalisé" avec lequel il se livre à des essais de catapultage depuis le cuirassé USS Idaho (BB-42).
Engagé en 1929 par le Ministère de l’Air britannique comme pilote d’essais, Edgar Percival se spécialise dans les hydravions et la mise au point des avions participant à la Coupe Schneider. Pilote expérimenté et respecté, il est surnommé "The Hat" en référence au feutre qui ne quitte que rarement son crâne même quant il pilote.
Le 5 juillet 1930, il participe à la King's Cup et se classe 24ème sur 61 participants classés aux commandes d'un Hendy 302 conçu par Basil B. Herderson qu'il s'est acheté le mois précédent :
Estimant que cet avion mérite d'être amélioré, il décide d’en extrapoler un triplace de grand tourisme, conservant les lignes générales du monoplace et la voilure cantilever repliable pour laquelle Henderson avait déposé un brevet. C'est ainsi que naquit le Percival D.1 Gull mais je commence là à dévoiler le sujet de présentation de cet avion magnifique. Nous y reviendrons...
Pour assurer la production et la commercialisation de son avion, Edgar Percival fonde alors sa propre société, la Percival Aircraft Company qui sous-traite la production à George Parnall & Sons dans le Gloucestershire.
En 1934, Percival installe sa propre usine à l' aéroport de Gravesend dans le Kent où sera également produit le Mew Gull qui mériterait à lui seul une étude approfondie :
En mars 940, il démissionne de sa société et sert durant la guerre dans la Royal Air Force Volunteer Reserve.
Hunting & Son Ltd s'étant porté acquéreur de Percival Aircraft en septembre 1944, Edgar Percival vend sa participation dans son entreprise et déménage aux États-Unis pour continuer à travailler sur la technologie des moteurs. Son ancienne société prend le nom de Hunting Percival Aircraft Ltd; "Percival" ne disparaissant de la raison sociale qu'en 1957.
Naturalisé américain en 1948, Percival crée en 1954 la "Edgar Percival Aircraft Limited" à Stapleford, en Angleterre où est conçu le Edgar Percival EP9, un avion utilitaire bien adapté à un usage agricole. Un total de 21 ont été construits avant que Percival ne vende son entreprise en 1960 à Samlesbury Engineering la nouvelle société a formé Lancashire Aircraft Company pour poursuivre la construction d'avions de l'EP9.
Au moment de sa mort en 1984, Percival travaillait toujours sur des projets d'aviation au Royaume-Uni et en Nouvelle-Zélande.
Dernière édition par Saabophile le Sam 19 Sep 2020 - 14:12, édité 1 fois
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Je prends un siège pour suivre ce montage. Une pilote néo-zélandaise (de Rotorua, ville que j'ai eu le plaisir de visiter et qui est plutôt particulière...) et un constructeur australien, ça ne pouvait donner que des choses pas ordinaires !
Si tu es née à Rotorua, tu sais que la valeur de la vie humaine est relative (la ville est construite sur une zone volcanique et géothermique à la stabilité très aléatoire...).
J'avoue humblement que je ne me souviens pas avoir remarqué le mémorial Jean Batten à Rotorua, il va falloir que j'y retourne
Bon montage pour ce bel hommage à une autre grande dame de l'aviation.
Si tu es née à Rotorua, tu sais que la valeur de la vie humaine est relative (la ville est construite sur une zone volcanique et géothermique à la stabilité très aléatoire...).
J'avoue humblement que je ne me souviens pas avoir remarqué le mémorial Jean Batten à Rotorua, il va falloir que j'y retourne
Bon montage pour ce bel hommage à une autre grande dame de l'aviation.
Dernière édition par Tom91 le Dim 13 Sep 2020 - 12:16, édité 1 fois (Raison : Corrections)
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
De rien Thierry ! Merci à toi d'être passéJumo 24 a écrit:Bonsoir,
Philippe!
Thierry
Merci à toi aussi TomTom91 a écrit:Je prends un siège pour suivre ce montage. Une pilote néo-zélandaise (de Rotorua, ville que j'ai eu le plaisir de visiter et qui est plutôt particulière...) et un constructeur australien, ça ne pouvait donner que des choses pas ordinaires !
Si tu es née à Rotorua, tu sais que la valeur de la vie humaine est relative (la ville est construite sur une zone volcanique et géothermique à la stabilité très aléatoire...).
J'avoue humblement que je ne me souviens pas avoir remarqué le mémorial Jean Batten à Rotorua, il va falloir que j'y retourne
Bon montage pour ce bel hommage à une autre grande dame de l'aviation.
Et si tu as des infos sur Rotorua, n'hésite pas à les partager ici. Une expérience basée sur une visite réelle est toujours plus intéressante que ce qu'on peut glaner sur la toile !
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Et puisqu'on évoque ces dames de l'aviation, voici Jean mais aussi une Américaine, une Anglaise et une Australienne moins connue sous nos latitudes mais au nom prédestiné...
A tout bientôt pour la suite et un peu de plastique
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Re: Percival Vega Gull - Dora Wings - 1/72 (La mise en croix)
Cette fois les amis je m'y mets...
D'abord, on jette un petit coup d’œil sur la doc pour bien s'imprégner du sujet... et aussi parce que j'aime beaucoup lire !
En parlant de doc, j'ai un truc très perso qui ne va pas me quitter tout au long du montage :
Ça c'est les 12 pages de notes du jury concernant mon montage de Moumoune pour le concours précédent.
C'est plein de critiques (toujours constructives) et de pistes d'amélioration pour faire mieux, ce qui est toujours possible.
Un conseil à ceux du concours FAFL qui n'auraient pas demandé leurs notes, faites-le ! Moi je trouve super d'avoir des commentaires qui sont rédigés à froid et avec un recul qu'on n'a pas dans le feu de l'action...
Bon, maintenant que j'ai grappillé les quelques points de bienveillance de notre très estimé jury , on y va !
On commence par dégrapper et je comprends ce que P40man voulait dire quand il évoquait plus haut la boucherie Sanzot...
Les points d'injection sont conséquents et même parfois plus épais que la pièce à conserver. De plus leur orientation n'est pas toujours très orthodoxe.
Perpendiculaire au plan de joint :
En diagonale ou affleurant à ce même plan :
Débordant plus ou moins légèrement :
Donc, on sort le sac "méthode et précision" et on en asperge copieusement le plan de travail. Pas question de couper en une seule fois la carotte et on approche doucement :
Finalement, ça va pas si mal en prenant son temps mais attention : le plastique est tendre et réagit très vite à la sollicitation de la lame. On va doser l'effort !
Une fois que c'est dégagé il reste une question :
Quésako ??? injection indésirable entre 2 parties du moule ou nervure nécessaire par la suite ?
Ça me parait bien précis pour une bavure alors j'm'en va j'ter un oeil à la suite avant de faire une con**rie...
A pluche
D'abord, on jette un petit coup d’œil sur la doc pour bien s'imprégner du sujet... et aussi parce que j'aime beaucoup lire !
En parlant de doc, j'ai un truc très perso qui ne va pas me quitter tout au long du montage :
Ça c'est les 12 pages de notes du jury concernant mon montage de Moumoune pour le concours précédent.
C'est plein de critiques (toujours constructives) et de pistes d'amélioration pour faire mieux, ce qui est toujours possible.
Un conseil à ceux du concours FAFL qui n'auraient pas demandé leurs notes, faites-le ! Moi je trouve super d'avoir des commentaires qui sont rédigés à froid et avec un recul qu'on n'a pas dans le feu de l'action...
Bon, maintenant que j'ai grappillé les quelques points de bienveillance de notre très estimé jury , on y va !
On commence par dégrapper et je comprends ce que P40man voulait dire quand il évoquait plus haut la boucherie Sanzot...
Les points d'injection sont conséquents et même parfois plus épais que la pièce à conserver. De plus leur orientation n'est pas toujours très orthodoxe.
Perpendiculaire au plan de joint :
En diagonale ou affleurant à ce même plan :
Débordant plus ou moins légèrement :
Donc, on sort le sac "méthode et précision" et on en asperge copieusement le plan de travail. Pas question de couper en une seule fois la carotte et on approche doucement :
Finalement, ça va pas si mal en prenant son temps mais attention : le plastique est tendre et réagit très vite à la sollicitation de la lame. On va doser l'effort !
Une fois que c'est dégagé il reste une question :
Quésako ??? injection indésirable entre 2 parties du moule ou nervure nécessaire par la suite ?
Ça me parait bien précis pour une bavure alors j'm'en va j'ter un oeil à la suite avant de faire une con**rie...
A pluche
Saabophile- Pilotes
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